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En ces lieux élevés, où se trouvait un "Castelas" (gros château en provençal) et une église réservée aux seigneurs, vécut depuis des siècles toute une dynastie amielienne, seigneuresse de cet endroit. On y trouve dès 1002 un Amélius qui donne la moitié de la ville de Pélissanne à l'Abbaye de Montmajour, "tant in villa quam in campanio" dit l'acte rédigé par ailleurs par Amelius, prêtre.. Sa descendance sera reconnue à partir de 1060. Un siècle après l'acte indiqué, en 1307, est noté à la même abbaye, le nom doublement amiélien de son prieur claustral, Amiel de Millany. Un "caminus Amelhonus" desservit le Val d'Estable proche de Pelissanne ce qui signe vraiment une forte présence de ces Amiel en cet endroit et une voie actuelle de Pelissanne porte toujours ce nom.
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//INDEX ONOMASTIQUE// : L'Amelier à Avignon * Amelh ou Amelhaud à Cairanne * La Coste d'Amiel et les Amiel à Pelissanne * La Tour d'Amiel * "Tour de Guillaume Amiel" à Marseille * Le Ravin d'Amiel * "Pont d'Amiel" * Les Meillons * L'Emeil à St Barthélémy de Vals * Champ d'Ameille * "Meillon en Provence" * "Moulin des Amiel" * Antibes * Port-Miou *
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En ces lieux élevés, où se trouvait un "Castelas" (gros château en provençal) et une église réservée aux seigneurs, vécut depuis des siècles toute une dynastie amielienne, seigneuresse de cet endroit. On y trouve dès 1002 un Amélius qui donne la moitié de la ville de Pélissanne à l'Abbaye de Montmajour, "tant in villa quam in campanio" dit l'acte rédigé par ailleurs par Amelius, prêtre.. Sa descendance sera reconnue à partir de 1060. Un "caminus Amelhonus" desservit le Val d'Estable proche de Pelissanne ce qui signe vraiment une forte présence de ces Amiel en cet endroit et une voie actuelle de Pelissanne porte toujours ce nom.
Une appellation viticole IGP "Les Costes d'Amiel" vient s'adosser à cette mémoire, jouant entre ce nom de "coste d'Amiel" et la toponymie propre aux plantations de vignes sur des pentes ensoleillées (côtes).
Une appellation viticole IGP "Les Costes d'Amiel" vient s'adosser à cette mémoire, jouant entre ce nom de "coste d'Amiel" et la toponymie propre aux plantations de vignes sur des pentes ensoleillées (côtes).
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C'est le nom d'une rue de la ville des papes; nom qui aurait pour origine l'amandier mais tout autant possible, selon Hervé Aliquot, ce pourrait bien être le nom déformé d'une ancienne famille avignonnaise, les Ameils bien sûr (cf. "Avignon de Montfavet à Villeneuve. Vie et patrimoine" H. Aliquot, Ed. Ecole Palatine, 2004). Il se peut encore que ce nom lui vienne d'une carrière de ce nom, propriété de ces Ameils (?) située à Villeneuve-les-Avignon, de l'autre côté du Rhône, carrière qui fournit non seulement les pierres d'édification du fameux Pont St Bénézet, (celui de la chanson...) et les premières constructions du Palais des Papes sous Jean XXII, mais aussi celles pour le Fort St André à Villeneuve, ou les demeures des cardinaux...ce qui fit de la ville des papes une "ville blanche".
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C'est le nom d'une rue de la ville des papes; nom qui aurait pour origine l'amandier mais tout autant possible, selon Hervé Aliquot, ce pourrait bien être le nom déformé d'une ancienne famille avignonnaise, les Ameils bien sûr (cf. "Avignon de Montfavet à Villeneuve. Vie et patrimoine" H. Aliquot, Ed. Ecole Palatine, 2004). Il se peut encore que ce nom lui vienne d'une carrière de ce nom, propriété de ces Ameils (?) située à Villeneuve-les-Avignon, de l'autre côté du Rhône, carrière qui fournit non seulement les pierres d'édification du fameux Pont St Bénézet, celui de la chanson...) et les premières constructions du Palais des Papes sous Jean XXII, mais encore le Fort St André à Villeneuve, ou les demeures des cardinaux...ce qui fit de la ville des papes une "ville blanche". .
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(=> "Avignon de Montfavet à Villeneuve. Vie et patrimoine" H. Aliquot, Ed. Ecole Palatine, 2004).
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**L'AMELIER à AVIGNON** (84) :
C'est le nom d'une de la ville des papes; il aurait pour origine l'amandier mais tout autant possible, selon Hervé Aliquot, il pourrait bien être le nom déformé d'une ancienne famille avignonnaise, les Ameils bien sûr.
(=> "Avignon de Montfavet à Villeneuve. Vie et patrimoine" H. Aliquot, Ed. Ecole Palatine, 2004).
**L'AMELIER à AVIGNON** (84) :
C'est le nom d'une de la ville des papes; il aurait pour origine l'amandier mais tout autant possible, selon Hervé Aliquot, il pourrait bien être le nom déformé d'une ancienne famille avignonnaise, les Ameils bien sûr.
(=> "Avignon de Montfavet à Villeneuve. Vie et patrimoine" H. Aliquot, Ed. Ecole Palatine, 2004).
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Quartier rural de la ville de Die, il portait au XIIIème S. le beau nom de "Champs d'Ameil" ; le censier du diocèse cite le toponyme sous quatre qualificatifs : la terra d'Ameilz, del prael d'Ameilz, la crois (sic) d'Ameilz et bien sûr champ d'Ameilz (censier de l'évêque de Die ; Bulletin de l'Académie Delphinale, 1890, Prudhomme; Dictionnaire topographique de la Drôme" J. Brun-Durand Paris Imp. Nationale 1891). Près de là a existé alors une église St Marcel de Mons et, de nos jours après avoir été noté en 1568 Lous Myelons, ce lieu se nommerait plus simplement "la cabane du miel" en un raccourci lointainement homophonique assez décevant ("Die, histoire d'une cité : patrimoine de la vallée de la Drôme" S. Beaumier, 1999).
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Quartier rural de la ville de Die, il portait au XIIIème S. le beau nom de "Champs d'Ameil" ; le censier du diocèse cite le toponyme sous quatre qualificatifs : la terra d'Ameilz, del prael d'Ameilz, la crois (sic) d'Ameilz et bien sûr champ d'Ameilz (censier de onnaire topographique de la Drôme" J. Brun-Durand Paris Imp. Nationale 1891). Près de là a existé alors une église St Marcel de Mons et, de nos jours après avoir été noté en 1568 Lous Myelons, ce lieu se nommerait plus simplement "la cabane du miel" en un raccourci assez décevant ("Die, histoire d'une cité : patrimoine de la vallée de la Drôme" S. Beaumier, 1999).
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(=> "Dictionnaire topographique de la Drôme" J. Brun-Durand Paris Imp. Nationale 1891).
