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Alors qu'il était à Carcassonne le Duc de Joyeuse fut appelé à Toulouse où il arriva le lundi 7 mai 1590; on lui avait annoncé déjà l'entrée des ligueurs à Montastruc (la Conseillère) et le Conseil de Ville de Toulouse, ville très catholique, fut réuni pour décider comment se prémunir des éventuelles "courses" depuis cette place jusqu'aux portes de la ville capitale régionale. "Quatre capitouls lui firent la révérence et lui exposèrent les nécessités du pays" dit la relation; le duc promit de faire le siège de Montastruc. Et avec l'aide de machines de guerre et de munitions toulousaines, servi de troupes fidèles comme la compagnie de Chalabre et des compagnies de Toulouse il put ouvrir le feu dès le mercredi suivant. Une brêche fut faite dans les murailles, le duc lança l'assaut; les protestants se défendirent héroïquement parait-il pendant deux heures. Le capitaine La Coste et le sergent Amiel de la compagnie de St Sernin (de Toulouse) périrent sur cette brêche mais la ville fut reprise par les catholiques. La menace désormais éloignée, le duc reprit la route pour Carcassonne. Le conseil de ville de Toulouse vota des subventions pour les funérailles de ses deux morts au champ d'honneur, 20 écus pour celles du sergent Amiel; le registre des délibérations indiquant qu'ils sont "morts sur la brêche de Montastruc, pour la défense de la religion, extirpation de l'hérétique et service de la ville".
Helléniste et humaniste genevois (Ferrare 1550- Hagen 1614) son nom est aussi écrit, selon les langues : Aemilios, Aemylius, Aemiglius, Emilius ou enfin Aimilios, toutes formes confirmant, une fois de plus s'il le fallait, autant l'origine grecque puis latine que moderne suivant les langues européennes, de notre nom Amiel. Sa vie est très bien connue car ce personnage eut une existence riche; né en Italie d'un père né en Grèce qui devint protestant et s'exila en 1559 avec son fils en Suisse; pays où son père fit son enseignement pendant qu'il gagnait leur vie comme professeur de grec. Et ce fils fut un bon élève : Aemilius devint dès 1569 professeur de langues anciennes à Genève (jusqu'en 1581, décès de son père) puis à Lausanne jusqu'en 1592. Après avoir publié des œuvres posthumes de son père et des ouvrages personnels (sur Aristophane ou la 1ère traduction de Denys d'Halicarnasse) il va mener une existence errante en Allemagne, faisant suivre sa femme et ses 6 enfants. En 1596 le voilà professeur de littérature grecque à Heildelberg (jusqu'en 1608) période où il reprendra de nombreux travaux d'études sur Euripide, la Rhétorique d'Aristote, Pindare, des dictionnaires gréco-latins et une traduction de l'Illiade et l'Odyssée d'Homère ! Un mauvais procès avec un étudiant le remit dans la détresse en 1608 mais il se relèvera encore une fois en professant le grec, le français et l'italien de sa jeunesse à Cassel en 1611 mais il en partit dès 1612 pour Hagen où il décèdera. Durant son existence, en sus des éditions savantes d'auteurs antiques il a aussi publié un nombre conséquent d'opuscules savants, des discours et de la poésie, sans compter sur sa riche correspondance.
Parmi les autres médecins de la renaissance on peut citer un Jean Aemilianus, Marc-Antoine Aemilius qui aurait écrit l'ouvrage de traitement thermal "De thermis Milzanelli" publié à Brescia en 1576 ou Aemilius Campolongus, peut-être d'origine hollandaise, dit 'de Padoue' où il fut professeur de l'université de cette ville autour des années 1600 et auteur d'ouvrages concernant la vérole et les maladies vénériennes (public. en 1586 par ex.)
De son nom complet Petrus Jacobus de Ameliaco, il était docteur es lois de l'université de Montpellier (Montepessulano) à la renaissance. Il a fait paraitre un "Tractatus varii Juris" ainsi qu'une "Practica". A ne pas confondre avec le suivant.
L'Etat-Civil de Gaudiès (09) conserve dans ses registres la relation d'un fait divers malheureux survenu dans la commune en 1628, le 4 janvier. C'est la relation d'une incursion menée par des rebelles protestants de Mazères, la petite ville proche, à 9h du soir, donc en pleine nuit alors, sur les habitants catholiques de la maison de Guilhem Gasquet. Ils tuèrent son épouse Germaine de Gasquet et brûlèrent les personnes qui s'y trouvaient dont Anne d'Amiel. Son père, Pierre Raymond Amiel parvint à sauter , "fut meurtri et mourut dans la rivière où il se jeta, lequel avait 64 livres dans sa bourse". Ainsi souffrirent les gens de la campagne de ces virées perpétrées par les "religionnaires protestants" soulevés depuis 1626 par le Duc de Rohan qui était à leur tête en Languedoc, lui surtout révolté contre l'autorité royale. C'est le curé du lieu qui, comme souvent en pareil cas, en consigna les faits, évènements dont il fut lui-même témoin direct.
On a vu des Pons Amiel notaires au moyen-âge; ici il s'agit d'un notaire "bachelier ez-droitctz" (sic) commissaire "députté" (re-sic) contre les séditieux de la cité de Pamyers" et qui, à ce titre, mène son enquête, à partir du 18 avril 1563 par l'audition de neuf témoins. Il s'agit probablement de savoir comment et à quel degré les idées de la Réforme protestante ont pénétré dans cette cité, connaitre ceux qui s'en réclament afin de les punir des méfaits commis. L'Ariège fut une terre très protestante.
Helléniste et humaniste genevois (Ferrare 1550- Hagen 1614) son nom est aussi écrit, selon les langues : Aemilios, Aemylius, Aemiglius, Emilius ou enfin Aimilios, toutes formes confirmant, une fois de plus s'il le fallait, autant l'origine grecque puis latine que moderne suivant les langues européennes, de notre nom Amiel. Sa vie est très bien connue car ce personnage eut une existence riche; né en Italie d'un père né en Grèce qui devint protestant et s'exila en 1559 avec son fils en Suisse; pays où son père fit son enseignement pendant qu'il gagnait leur vie comme professeur de grec. Et ce fils fut un bon élève : Aemilius devint dès 1569 professeur de langues anciennes à Genève (jusqu'en 1581, décès de son père) puis à Lausanne jusqu'en 1592. Après avoir publié des œuvres posthumes de son père et des ouvrages personnels (sur Aristophane ou la 1ère traduction de Denys d'Halicarnasse) il va mener une existence errante en Allemagne, faisant suivre sa femme et ses 6 enfants. En 1596 le voilà professeur de littérature grecque à Heildelberg (jusqu'en 1608) période où il reprendra de nombreux travaux d'études sur Euripide, la Rhétorique d'Aristote, Pindare, des dictionnaires gréco-latins et une traduction de l'Illiade et l'Odyssée d'Homère ! Un mauvais procès avec un étudiant le remit dans la détresse en 1608 mais il se relèvera encore une fois en professant le grec, le français et l'italien de sa jeunesse à Cassel en 1611 mais il en partit dès 1612 pour Hagen où il décèdera. Durant son existence, en sus des éditions savantes d'auteurs antiques il a aussi publié un nombre conséquent d'opuscules savants, des discours et de la poésie, sans compter sur sa riche correspondance.
Parmi les autres médecins de la renaissance on peut citer un Jean Aemilianus, Marc-Antoine Aemilius qui aurait écrit l'ouvrage de traitement thermal "De thermis Milzanelli" publié à Brescia en 1576 ou Aemilius Campolongus, peut-être d'origine hollandaise, dit 'de Padoue' où il fut professeur de l'université de cette ville autour des années 1600 et auteur d'ouvrages concernant la vérole et les maladies vénériennes (public. en 1586 par ex.)
De son nom complet Petrus Jacobus de Ameliaco, il était docteur es lois de l'université de Montpellier (Montepessulano) à la renaissance. Il a fait paraitre un "Tractatus varii Juris" ainsi qu'une "Practica". A ne pas confondre avec le suivant.
L'Etat-Civil de Gaudiès (09) conserve dans ses registres la relation d'un fait divers malheureux survenu dans la commune en 1628, le 4 janvier. C'est la relation d'une incursion menée par des rebelles protestants de Mazères, la petite ville proche, à 9h du soir, donc en pleine nuit alors, sur les habitants catholiques de la maison de Guilhem Gasquet. Ils tuèrent son épouse Germaine de Gasquet et brûlèrent les personnes qui s'y trouvaient dont Anne d'Amiel. Son père, Pierre Raymond Amiel parvint à sauter , "fut meurtri et mourut dans la rivière où il se jeta, lequel avait 64 livres dans sa bourse". Ainsi souffrirent les gens de la campagne de ces virées perpétrées par les "religionnaires protestants" soulevés depuis 1626 par le Duc de Rohan qui était à leur tête en Languedoc, lui surtout révolté contre l'autorité royale. C'est le curé du lieu qui, comme souvent en pareil cas, en consigna les faits, évènements dont il fut lui-même témoin direct.
On a vu des Pons Amiel notaires au moyen-âge; ici il s'agit d'un notaire "bachelier ez-droitctz" (sic) commissaire "députté" (re-sic) contre les séditieux de la cité de Pamyers" et qui, à ce titre, mène son enquête, à partir du 18 avril 1563 par l'audition de neuf témoins. Il s'agit probablement de savoir comment et à quel degré les idées de la Réforme protestante ont pénétré dans cette cité, connaitre ceux qui s'en réclament afin de les punir des méfaits commis. L'Ariège fut une terre très protestante.
Deletions:
Helléniste et humaniste genevois (Ferrare 1550- Hagen 1614) son nom est aussi écrit, selon les langues : Aemilios, Aemylius, Aemiglius, Emilius ou enfin Aimilios, toutes formes confirmant, une fois de plus s'il le fallait, autant l'origine grecque puis latine que moderne suivant les langues européennes, de notre nom Amiel. Sa vie est très bien connue car ce personnage eut une existence riche; né en Italie d'un père né en Grèce qui devint protestant et s'exila en 1559 avec son fils en Suisse; pays où son père fit son enseignement pendant qu'il gagnait leur vie comme professeur de grec. Et ce fils fut un bon élève : Aemilius devint dès 1569 professeur de langues anciennes à Genève (jusqu'en 1581, décès de son père) puis à Lausanne jusqu'en 1592. Après avoir publié des œuvres posthumes de son père et des ouvrages personnels (sur Aristophane ou la 1ère traduction de Denys d'Halicarnasse) il va mener une existence errante en Allemagne, faisant suivre sa femme et ses 6 enfants. En 1596 le voilà professeur de littérature grecque à Heildelberg (jusqu'en 1608) période où il reprendra de nombreux travaux d'études sur Euripide, la Rhétorique d'Aristote, Pindare, des dictionnaires gréco-latins et une traduction de l'Illiade et l'Odyssée d'Homère. Un mauvais procès avec un étudiant le remit dans la détresse en 1608 mais il se relèvera encore une fois en professant le grec, le français et l'italien de sa jeunesse à Cassel en 1611 mais il en partit dès 1612 pour Hagen où il décèdera. Durant son existence, en sus des éditions savantes d'auteurs antiques il a aussi publié un nombre conséquent d'opuscules savants, des discours et de la poésie, sans compter sur sa riche correspondance.
Parmi les autres médecins de la renaissance on peut citer un Jean Aemilianus, Marc-Antoine Aemilius qui aurait écrit l'ouvrage de traitement thermal "De thermis Milzanelli" publié à Brescia en 1576 ou Aemilius Campolongus, peut-être d'origine hollandaise, dit 'de Padoue' il fut professeur de l'université de cette ville autour des années 1600 et auteur d'ouvrages concernant la vérole et les maladies vénériennes (public. en 1586 par ex.)
De son nom complet Petrus Jacobus de Ameliaco il était docteur es lois de l'université de Montpellier (Montepessulano) à la renaissance. Il a fait paraitre un "Tractatus varii Juris" ainsi qu'une "Practica". A ne pas confondre avec le suivant.
L'Etat-Civil de Gaudiès (09) conserve dans ses registres la relation d'un fait divers malheureux survenu dans la commune en 1628, le 4 janvier. C'est la relation d'une incursion menée par des rebelles protestants de Mazères, la petite ville proche, à 9h du soir, donc en pleine nuit alors, sur les habitants de la maison de Guilhem Gasquet. Ils tuèrent son épouse Germaine de Gasquet et brûlèrent les personnes qui s'y trouvaient dont Anne d'Amiel. Son père, Pierre Raymond Amiel parvint à sauter , "fut meurtri et mourut dans la rivière où il se jeta, lequel avait 64 livres dans sa bourse". Ainsi souffrirent les gens de la campagne de ces virées perpétrées par les "religionnaires protestants" soulevés depuis 1626 par le Duc de Rohan qui était à leur tête en Languedoc, lui surtout révolté contre l'autorité royale. C'est le curé du lieu qui, comme souvent en pareil cas, en consigna les faits, évènements dont il fut lui-même témoin direct.
On a vu des Pons Amiel notaires au moyen-âge; ici il s'agit d'un notaire "bachelier ez-droitctz" (sic) commissaire "députté" (re-sic) contre les séditieux de la cité de Pamyers" et qui, à ce titre, mène son enquête, à partir du 18 avril 1563 par l'audition de neuf témoins. Il s'agit probablement de savoir comment et à quel degré les idées de la Réforme protestante ont pénétré dans cette cité, connaitre ceux qui s'en réclament afin de les punir des méfaits commis.
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//INDEX ONOMASTIQUE// :
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* Peyrona Amiel * Messire Pierre Damyel * Johan Amiel crieur public de Narbonne * François Amiel muletier * Jean Amiel recteur de Montmaur (11) * Des Amiel ayant eu des charges * Augustinus Aemilius et Laura Cereta * St Jérôme Emiliani * Jean Amiel Maître des Ports, de Carcassonne (11) * Sentence à Limoux * L'école de Lauzerte (82) * Les guerres de religion et Amiel de Tréville * Joannes Amelinus de Sarlat (24) * Les Amielh de Toulon à travers le cadastre * Iulius Aemylius * Gerardus & Theodoricus Amelij * Jan Antoni Aemilius d'Utrecht (part 2) * Antoine Aemilius Poète * Egbert Aemilius * Johannes Aemilianus scientifique * Joannes Amelius Editeur (2) * Pier Matteo d'Amelia * Des Amielly et Amiel à Albi * Leonhard Aemilius médecin * Hector Aemilius érudit * Georges Milius théologien protestant * Amulius Ambassadeur de Venise * Jean Aemilien évêque de Tuy * Jean Amelii écuyer * Amiel de Puymirail * Le sergent Amiel et les guerres de religion * Aemilius Portus * Nicolaus Amillus médecin et autres* Jacobus de Ameliaco juriste * Jacobus Amelius jurisconsulte * Quintus Aemilius poète * Des Amiel victimes d'exactions religieuses * Amiel bayle de l'Hôpital de Castelnaudary * Louis Ameil clerc des comptes * Pons Amiel notaire à Pamiers * Peyre et Hugo Amelier ménestrels * Quelques Amiel italiens du XVème S. dans diverses sources *
**Quelques AMIEL italiens du XVème S. dans diverses sources** :
- Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1452. Il est cité dans "Bibl. Toscana" de Moreni, 1805, T.I, 30.
**Quelques AMIEL italiens du XVème S. dans diverses sources** :
- Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1452. Il est cité dans "Bibl. Toscana" de Moreni, 1805, T.I, 30.
Deletions:
**Quelques AMIEL italiens dans diverses sources** :
- Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542. Il est cité dans "Bibl. Toscana" de Moreni, 1805, T.I, 30.
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Ces Amiel, gens de bien "apparens" comme on disait alors, s'éteindront à Albi au cours du XVIIème S., car il n'y a plus que des filles détentrices du nom.
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* Peyrona Amiel * Messire Pierre Damyel * Johan Amiel crieur public de Narbonne * François Amiel muletier * Jean Amiel recteur de Montmaur (11) * Des Amiel ayant eu des charges * Augustinus Aemilius et Laura Cereta * St Jérôme Emiliani * Jean Amiel Maître des Ports, de Carcassonne (11) * Sentence à Limoux * L'école de Lauzerte (82) * Les guerres de religion et Amiel de Tréville * Joannes Amelinus de Sarlat (24) * Les Amielh de Toulon à travers le cadastre * Iulius Aemylius * Gerardus & Theodoricus Amelij * Jan Antoni Aemilius d'Utrecht (part 2) * Antoine Aemilius Poète * Egbert Aemilius * Johannes Aemilianus scientifique * Joannes Amelius Editeur (2) * Pier Matteo d'Amelia * Des Amielly et Amiel à Albi * Leonhard Aemilius médecin * Hector Aemilius érudit * Georges Milius théologien protestant * Amulius Ambassadeur de Venise * Jean Aemilien évêque de Tuy * Jean Amelii écuyer * Amiel de Puymirail * Le sergent Amiel et les guerres de religion * Aemilius Portus * Nicolaus Amillus médecin et autres* Jacobus de Ameliaco juriste * Jacobus Amelius jurisconsulte * Quintus Aemilius poète * Des Amiel victimes d'exactions religieuses * Amiel bayle de l'Hôpital de Castelnaudary * Louis Ameil clerc des comptes * Pons Amiel notaire à Pamiers * Peyre et Hugo Amelier ménestrels * Quelques Amiel italiens dans diverses sources *
**Quelques AMIEL italiens dans diverses sources** :
- Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542. Il est cité dans "Bibl. Toscana" de Moreni, 1805, T.I, 30.
- Jean Amiel qui fut un jurisconsulte de Bologne. Il est cité en 1491 par Hain "Rep. bibl." 1825, T.I, 925).
- Paul Amiel qui était d'Arzignano (prov. de Vicence) fut lui un littérateur du XVème. S. noté par Mazzuchelli "Scr. Ital." 1753 T. I, II, 1147).
- Roger d'Amiel fut un poète italien cité aussi par Mazzuchelli dans le même ouvrage T. I, II, 623).
- Thomas Amiel fut un sculpteur de Crémone cité en 1495.
(=>"Répertoire des sources historiques du moyen-âge - Bio-bibliographie" Ulysse Chevalier, 1877).
**Quelques AMIEL italiens dans diverses sources** :
- Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542. Il est cité dans "Bibl. Toscana" de Moreni, 1805, T.I, 30.
- Jean Amiel qui fut un jurisconsulte de Bologne. Il est cité en 1491 par Hain "Rep. bibl." 1825, T.I, 925).
- Paul Amiel qui était d'Arzignano (prov. de Vicence) fut lui un littérateur du XVème. S. noté par Mazzuchelli "Scr. Ital." 1753 T. I, II, 1147).
- Roger d'Amiel fut un poète italien cité aussi par Mazzuchelli dans le même ouvrage T. I, II, 623).
- Thomas Amiel fut un sculpteur de Crémone cité en 1495.
(=>"Répertoire des sources historiques du moyen-âge - Bio-bibliographie" Ulysse Chevalier, 1877).
Deletions:
**JEAN AMIEL chroniqueur** :
Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542.
(=>Répertoire des sources historiques du moyen-âge - Bio-bibliographie" Ulysse Chevalier, 1877).
Additions:
* Peyrona Amiel * Messire Pierre Damyel * Johan Amiel crieur public de Narbonne * François Amiel muletier * Jean Amiel recteur de Montmaur (11) * Des Amiel ayant eu des charges * Augustinus Aemilius et Laura Cereta * St Jérôme Emiliani * Jean Amiel Maître des Ports, de Carcassonne (11) * Sentence à Limoux * L'école de Lauzerte (82) * Les guerres de religion et Amiel de Tréville * Joannes Amelinus de Sarlat (24) * Les Amielh de Toulon à travers le cadastre * Iulius Aemylius * Gerardus & Theodoricus Amelij * Jan Antoni Aemilius d'Utrecht (part 2) * Antoine Aemilius Poète * Egbert Aemilius * Johannes Aemilianus scientifique * Joannes Amelius Editeur (2) * Pier Matteo d'Amelia * Des Amielly et Amiel à Albi * Leonhard Aemilius médecin * Hector Aemilius érudit * Georges Milius théologien protestant * Amulius Ambassadeur de Venise * Jean Aemilien évêque de Tuy * Jean Amelii écuyer * Amiel de Puymirail * Le sergent Amiel et les guerres de religion * Aemilius Portus * Nicolaus Amillus médecin et autres* Jacobus de Ameliaco juriste * Jacobus Amelius jurisconsulte * Quintus Aemilius poète * Des Amiel victimes d'exactions religieuses * Amiel bayle de l'Hôpital de Castelnaudary * Louis Ameil clerc des comptes * Pons Amiel notaire à Pamiers * Peyre et Hugo Amelier ménestrels * Jean Amiel chroniqueur *
**JEAN AMIEL chroniqueur** :
Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542.
(=>Répertoire des sources historiques du moyen-âge - Bio-bibliographie" Ulysse Chevalier, 1877).
**JEAN AMIEL chroniqueur** :
Jean Amiel fut un chroniqueur florentin cité en 1542.
(=>Répertoire des sources historiques du moyen-âge - Bio-bibliographie" Ulysse Chevalier, 1877).
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Né à Augsbourg en 1548 il fut ministre du culte de cette ville où l'on prétend qu'il fut aussi à l'origine de troubles au sujet de la réforme catholique du calendrier julien par le pape Grégoire. Milius, dont le nom est dérivé d'(A)Emilius avec aphérèse, se serait exilé alors à Ulm puis il fut appelé à Wittenberg où il sera professeur, chancelier de l'Université et pasteur. Il composa plusieurs ouvrages d'exégèse biblique, de théologie protestante réformée et mourut en 1607.
Un personnage vénitien de ce nom fut en effet mandaté par sa République au Concile de Trente, vers 1547, auprès du pape; celui-ci le fit d'ailleurs cardinal à cette occasion; il est vrai qu'il avait rempli auparavant les plus célèbres missions ambassadrices d'alors; il se nommait très exactement Marc-Antoine Amulius, Amulius ayant été vu dans l'Antiquité comme une autre graphie d'Aemilius.
Comme ses collègues, Louis Ameil, clerc à la Chambre des Comptes de Paris, fut reçu et prêta serment le 24 juillet 1507; il exerça cette charge jusqu'en 1532; comme tout personnage de ce rang il eut droit à porter un blason. il choisit : "D'argent à la ruche de sable" (couleur de sable) ce qui constitue des armes parlantes et vérifie bien que le nom Ameil est identique à celui d'Amiel. Pierre du Hamel (donc du hameau selon l'origine de ce nom et non un Amiel qui aurait abandonné son 'i' pour un 'h' introductif) lui succéda.
La grande période des troubadours est terminée depuis le début du XIVème S.: Il y eut un Amelier troubadour qui vécut au XIIème S. (voir ce nom). Ici il s'agit de ménestrels, ces musiciens, chanteurs et diseurs d'histoires qui étaient chargés de distraire les cours seigneuriales mais aussi engagés par les consuls comme c'est le cas ici. Ces deux hommes sont en effet payés par la ville de Montpellier : Peyre Amelier est payé pour ses prestations consulaires en 1455 et Hugo Amelier dont le nom latinisé est Hugoninus Melleri, figure sur les registres en 1455 aussi (c'est peut-être un proche du précédent) mais encore très régulièrement entre 1480 et 1494.
Un personnage vénitien de ce nom fut en effet mandaté par sa République au Concile de Trente, vers 1547, auprès du pape; celui-ci le fit d'ailleurs cardinal à cette occasion; il est vrai qu'il avait rempli auparavant les plus célèbres missions ambassadrices d'alors; il se nommait très exactement Marc-Antoine Amulius, Amulius ayant été vu dans l'Antiquité comme une autre graphie d'Aemilius.
Comme ses collègues, Louis Ameil, clerc à la Chambre des Comptes de Paris, fut reçu et prêta serment le 24 juillet 1507; il exerça cette charge jusqu'en 1532; comme tout personnage de ce rang il eut droit à porter un blason. il choisit : "D'argent à la ruche de sable" (couleur de sable) ce qui constitue des armes parlantes et vérifie bien que le nom Ameil est identique à celui d'Amiel. Pierre du Hamel (donc du hameau selon l'origine de ce nom et non un Amiel qui aurait abandonné son 'i' pour un 'h' introductif) lui succéda.
La grande période des troubadours est terminée depuis le début du XIVème S.: Il y eut un Amelier troubadour qui vécut au XIIème S. (voir ce nom). Ici il s'agit de ménestrels, ces musiciens, chanteurs et diseurs d'histoires qui étaient chargés de distraire les cours seigneuriales mais aussi engagés par les consuls comme c'est le cas ici. Ces deux hommes sont en effet payés par la ville de Montpellier : Peyre Amelier est payé pour ses prestations consulaires en 1455 et Hugo Amelier dont le nom latinisé est Hugoninus Melleri, figure sur les registres en 1455 aussi (c'est peut-être un proche du précédent) mais encore très régulièrement entre 1480 et 1494.
Deletions:
Un personnage vénitien de ce nom fut en effet mandaté par sa République au Concile de Trente, vers 1547, auprès du pape; celui-ci le fit d'ailleurs cardinal à cette occasion; il est vrai qu'il avait rempli auparavant les plus célèbres missions ambassadrices d'alors; il se nommait très exactement Marc-Antoine Amulius.
Comme ses collègues, Louis Ameil, clerc à la Chambre des Comptes de Paris, fut reçu et prêta serment le 24 juillet 1507; il exerça cette charge jusqu'en 1532; comme tout personnage de ce rang il eut droit à porter un blason. il choisit : "D'argent à la ruche de fable" ce qui constitue des armes parlantes et vérifie bien que le nom Ameil est identique à celui d'Amiel. Pierre du Hamel (donc du hameau selon l'origine de ce nom et non un Amiel qui aurait abandonné son 'i' pour un 'h' introductif) lui succéda.
La grande période des troubadours est terminée depuis le début du XIVème S.: Il y eut un Amelier troubadour qui vécut au XIIème S. Ici il s'agit de ménestrels, ces musiciens, chanteurs et diseurs d'histoires qui étaient chargés de distraire les cours seigneuriales mais aussi engagés par les consuls comme c'est le cas ici. Ces deux hommes sont en effet payés par la ville de Montpellier : Peyre Amelier est payé pour ses prestations consulaires en 1455 et Hugo Amelier dont le nom latinisé est Hugoninus Melleri, figure sur les registres en 1455 aussi (c'est peut-être un proche du précédent) mais encore très régulièrement entre 1480 et 1494.