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Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de Parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * Jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges * Les Amelier troubadours de Montpellier * Des Amiel chevaliers de St Jean de Jérusalem à St Gilles * Bernard Amiel à Villegly * Amelius Olive et Amelius de Rouffiac *
Cet homme était maître-tuilier et possédait sa tuilerie à Villegly (près et au nord de Carcassonne) à la fin du XIVème S. Fouquet de Merle, un franciman vu le nom, devenu seigneur du lieu y prélevait parait-il 25 tuiles par fournée comme droit.
**AMELIUS OLIVE & AMELIUS DE ROUFFIAC** :
Dans la décennie 1478-1488 l'inventaire des actes tarnais (ancien fonds 6E1) cite plusieurs fois Noble Amelius Olive, licencié "en l'un et l'autre droit", fils et héritier de Bernard (1478), seigneur de Tornaboix. Son nom est aussi noté Amédée après sa mort, postérieurement à 1488 mais avant 1494. Cette autre façon, assez différente de nommer cet homme confirme bien ce que j'affirme dans la partie onomastique, l'équivalence dans les textes manuscrits de ces deux appellations.
Vingt ans auparavant, mais toujours dans le Tarn, on peut noter aussi le nom de Noble Amiel de Rouffiac.
Cet homme était maître-tuilier et possédait sa tuilerie à Villegly (près et au nord de Carcassonne) à la fin du XIVème S. Fouquet de Merle, un franciman vu le nom, devenu seigneur du lieu y prélevait parait-il 25 tuiles par fournée comme droit.
**AMELIUS OLIVE & AMELIUS DE ROUFFIAC** :
Dans la décennie 1478-1488 l'inventaire des actes tarnais (ancien fonds 6E1) cite plusieurs fois Noble Amelius Olive, licencié "en l'un et l'autre droit", fils et héritier de Bernard (1478), seigneur de Tornaboix. Son nom est aussi noté Amédée après sa mort, postérieurement à 1488 mais avant 1494. Cette autre façon, assez différente de nommer cet homme confirme bien ce que j'affirme dans la partie onomastique, l'équivalence dans les textes manuscrits de ces deux appellations.
Vingt ans auparavant, mais toujours dans le Tarn, on peut noter aussi le nom de Noble Amiel de Rouffiac.
Deletions:
Cet homme était maître-tuilier et possédait sa tuilerie à Villegly (près et au nord de Carcassonne) à la fin du XIVème S. Fouquet de Merle, un franciman vu le nom, devenu seigneur du lieu y prélevait parait-il 25 tuiles par fournée comme droit.
Additions:
** Des AMEIL AMELLI et AMELIERE à AVIGNON** :
Au XIIIème S. fut connu "Ameyle dit ly gros Mylot" au surnom formé sur un diminutif de son nom personnel et sur embonpoint évident; ou en 1319 un certain "Amelius le waignereas de Leodio" qui semble avoir été un laboureur ou un vigneron?; en 1324 est indiqué celui d ' "Amelius Milotiaux" complément qui peut faire penser au français Milloteau formé sur la même racine qu'Amiel.
Le grand et très célèbre voyageur italien du moyen-âge Marco Polo (1254 - 1324), de retour de son fameux voyage en Chine, revint enfin, plusieurs années après son départ, dans sa cité de Venise. Il ne se lassa pas de raconter les richesses du Grand Khan, de montrer beaucoup de souvenirs de prix qu'il ramena; d'incrédules les vénitiens finirent par s'agacer et ils le surnommèrent, parait-il "Messer Milion" monsieur le milliardaire. Mais ceux qui racontent cela, et il y en a toujours aujourd'hui, ne sont pas complètement informés. Cet aimable jeu de mots peut être tout autant le fruit de la langue des oiseaux dont je parsème si souvent mes articles. Pourquoi me direz-vous ? Et bien pour au moins deux raisons :
- La 1ère a trait au palais vénitien que les trois frères Polo achetèrent en commun pour y faire vivre leur tribu familiale. C'était en ce temps-là (le palais n'existe plus de nos jours) une sorte de complexe de bâtiments, certains marchands et d'autres résidentiels situés près de l'église San Giovanni Crisostomo, dans la cité sérénissime. Nommée "Corte dei Milioni" elle fut acquise par eux en fin 1295 ou début 1296, peu après le retour de Marco. Ces bâtiments étaient en effet articulés autour d'une cour (d'où le nom de corte) et elle atteint une certaine célébrité avec les Polo, c'est la maison d'un groupe familial, d'une lignée. Cette propriété collective en indivision correspond à l'idée que s'en fait une race, une descendance et lorsque l'on sait (et les historiens le confirment) que ce nom de Milioni n'a rien à voir ici avec leur richesse mais qu'il fait très directement référence à une vieille famille émilienne (on a vu qu'il y eut des Aemilii à Venise) : il lui fut accolé ce surnom, considéré même par certains comme leur nouveau patronyme; c'est même par ce surnom qu'il va surtout être connu au moyen-âge. Comment me direz-vous ?
Dans le répertoire de cet ordre pour le Grand Prieuré de Saint-Gilles sont mentionnés : Raymond et Aldebert Amiel en 1338; pour la même année encore Bernard ainsi qu'un homonyme de ce dernier en 1426; en 1482 Balthazar Amiel. En 1338 le nom de Jean Amiel, probablement parent des deux premiers et lui seulement "frère servant".
Au XIIIème S. fut connu "Ameyle dit ly gros Mylot" au surnom formé sur un diminutif de son nom personnel et sur embonpoint évident; ou en 1319 un certain "Amelius le waignereas de Leodio" qui semble avoir été un laboureur ou un vigneron?; en 1324 est indiqué celui d ' "Amelius Milotiaux" complément qui peut faire penser au français Milloteau formé sur la même racine qu'Amiel.
Le grand et très célèbre voyageur italien du moyen-âge Marco Polo (1254 - 1324), de retour de son fameux voyage en Chine, revint enfin, plusieurs années après son départ, dans sa cité de Venise. Il ne se lassa pas de raconter les richesses du Grand Khan, de montrer beaucoup de souvenirs de prix qu'il ramena; d'incrédules les vénitiens finirent par s'agacer et ils le surnommèrent, parait-il "Messer Milion" monsieur le milliardaire. Mais ceux qui racontent cela, et il y en a toujours aujourd'hui, ne sont pas complètement informés. Cet aimable jeu de mots peut être tout autant le fruit de la langue des oiseaux dont je parsème si souvent mes articles. Pourquoi me direz-vous ? Et bien pour au moins deux raisons :
- La 1ère a trait au palais vénitien que les trois frères Polo achetèrent en commun pour y faire vivre leur tribu familiale. C'était en ce temps-là (le palais n'existe plus de nos jours) une sorte de complexe de bâtiments, certains marchands et d'autres résidentiels situés près de l'église San Giovanni Crisostomo, dans la cité sérénissime. Nommée "Corte dei Milioni" elle fut acquise par eux en fin 1295 ou début 1296, peu après le retour de Marco. Ces bâtiments étaient en effet articulés autour d'une cour (d'où le nom de corte) et elle atteint une certaine célébrité avec les Polo, c'est la maison d'un groupe familial, d'une lignée. Cette propriété collective en indivision correspond à l'idée que s'en fait une race, une descendance et lorsque l'on sait (et les historiens le confirment) que ce nom de Milioni n'a rien à voir ici avec leur richesse mais qu'il fait très directement référence à une vieille famille émilienne (on a vu qu'il y eut des Aemilii à Venise) : il lui fut accolé ce surnom, considéré même par certains comme leur nouveau patronyme; c'est même par ce surnom qu'il va surtout être connu au moyen-âge. Comment me direz-vous ?
Dans le répertoire de cet ordre pour le Grand Prieuré de Saint-Gilles sont mentionnés : Raymond et Aldebert Amiel en 1338; pour la même année encore Bernard ainsi qu'un homonyme de ce dernier en 1426; en 1482 Balthazar Amiel. En 1338 le nom de Jean Amiel, probablement parent des deux premiers et lui seulement "frère servant".
Deletions:
Au XIIIème S. fut connu "Ameyle dit ly gros Mylot" au surnom formé sur un diminutif de son nom personnel; ou en 1319 un certain "Amelius le waignereas de Leodio" qui semble avoir été un laboureur ou un vigneron?; en 1324 est indiqué celui d ' "Amelius Milotiaux" complément qui peut faire penser au français Milloteau formé sur la même racine qu'Amiel.
Le grand et très célèbre voyageur italien du moyen-âge Marco Polo (1254 - 1324), de retour de son fameux voyage en Chine, revint enfin, plusieurs années après son départ, dans sa cité de Venise. Il ne se lassa pas de raconter les richesses du Grand Khan, de montrer beaucoup de souvenirs de prix qu'il ramena; d'incrédules les vénitiens finirent par s'agacer et ils le surnommèrent, parait-il "Messer Milion" monsieur le milliardaire. Mais ceux qui racontent cela, toujours aujourd'hui, ne sont pas complètement informés. Cet aimable jeu de mots peut être tout autant le fruit de la langue des oiseaux dont je parsème si souvent mes articles. Pourquoi me direz-vous ? Et bien pour au moins deux raisons .
- La 1ère a trait au palais vénitien que les trois frères Polo achetèrent en commun pour y faire vivre leur tribu familiale. C'était en ce temps-là (le palais n'existe plus de nos jours) une sorte de complexe de bâtiments, certains marchands et d'autres résidentiels situés près de l'église San Giovanni Crisostomo, dans la cité sérénissime. Nommée "Corte dei Milioni" elle fut acquise par eux en fin 1295 ou début 1296, peu après le retour de Marco. Ces bâtiments étaient en effet articulés autour d'une cour (d'où le nom) et elle atteint une certaine célébrité avec les Polo, c'est la maison d'un groupe familial, d'une lignée. Cette propriété collective en indivision correspond à l'idée que s'en fait une race, une descendance et lorsque l'on sait (et les historiens le confirment) que ce nom de Milioni n'a rien à voir ici avec leur richesse mais qu'il fait très directement référence à une vieille famille émilienne (on a vu qu'il y eut des Aemilii à Venise) : il lui fut accolé ce surnom, considéré même par certains comme leur nouveau patronyme; c'est même par ce surnom qu'il va surtout être connu au moyen-âge. Comment me direz-vous ?
Dans le répertoire de cet ordre pour le Grand Prieuré de Saint-Gilles sont mentionnés : Raymond et Aldebert Amiel en 1338; pour la même année encore Bernard ainsi qu'un homonyme de ce dernier en 1426; en 1482 balthazar Amiel. En 1338 le nom de Jean Amiel, probablement parent des deux premiers et lui seulement "frère servant".
Additions:
Ce fonctionnaire fut Clavaire Royal de Montréal à la fin du XIVème S. Le clavaire (du mot clé) détient des clés, non pas celles de la ville, mais plutôt celles de la maîtrise des finances (il faut penser ici aux coffres); il est le trésorier local des finances en somme.
Deletions:
Additions:
Ces deux frères nommés ainsi figurent parmi "les six traîtres" qui ont livré la ville de Pamiers lors de sa prise en 1486 par Jean de Foix, vicomte de Narbonne. Celui-ci disputait la possession de la région à Catherine, reine de Navarre. Il saccagea cette ville et l'on vit, dit la chronique, "ruisseler le pavé de sang des meurtris, qui grossissait comme rivière d'une grande et indicible source", conséquence des atrocités commises par les troupes aragonaises engagées par le comte; Mathieu de Foix envahit même le Palais Episcopal et, "à main armée", enleva le trésor de la cathédrale appaméenne.
Ce fonctionnaire fut Clavaire Royal de Montréal à la fin du XIVème S. Le clavaire (du mot clé) détient les clés de la ville, sans doute faut-il penser surtout à la maîtrise des finances.
Ce fonctionnaire fut Clavaire Royal de Montréal à la fin du XIVème S. Le clavaire (du mot clé) détient les clés de la ville, sans doute faut-il penser surtout à la maîtrise des finances.
Deletions:
Ce fonctionnaire fut Clavaire Royal de Montréal à la fin du XIVème S.
Additions:
Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de Parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * Jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges * Les Amelier troubadours de Montpellier * Des Amiel chevaliers de St Jean de Jérusalem à St Gilles * Bernard Amiel à Villegly *
Deletions:
Additions:
(=> "Essai sur le Grand Prieuré de St Gilles de l'Ordre de St Jean de Jérusalem" E. F. de Grasset, paris, Dupont, 1869).
**BERNARD AMIEL à VILLEGLY **(11):
Cet homme était maître-tuilier et possédait sa tuilerie à Villegly (près et au nord de Carcassonne) à la fin du XIVème S. Fouquet de Merle, un franciman vu le nom, devenu seigneur du lieu y prélevait parait-il 25 tuiles par fournée comme droit.
**BERNARD AMIEL à VILLEGLY **(11):
Cet homme était maître-tuilier et possédait sa tuilerie à Villegly (près et au nord de Carcassonne) à la fin du XIVème S. Fouquet de Merle, un franciman vu le nom, devenu seigneur du lieu y prélevait parait-il 25 tuiles par fournée comme droit.
Deletions:
Additions:
Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de Parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * Jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges * Les Amelier troubadours de Montpellier * Des Amiel chevaliers de St Jean de Jérusalem à St Gilles *
(=> "The musical sounds of medieval french cities : Players, patrons and politics" Gretchen Peters, Cambridge Univ. Press, 2012).
**Des AMIEL chevaliers de ST JEAN de JERUSALEM à ST GILLES** :
Dans le répertoire de cet ordre pour le Grand Prieuré de Saint-Gilles sont mentionnés : Raymond et Aldebert Amiel en 1338; pour la même année encore Bernard ainsi qu'un homonyme de ce dernier en 1426; en 1482 balthazar Amiel. En 1338 le nom de Jean Amiel, probablement parent des deux premiers et lui seulement "frère servant".
(=> "Essai sur le Grand Prieuré de St Gilles de l'Ordre de St Jean de Jérusalem" E. F. de Grasset, paris, Dupont, 1869).
(=> "The musical sounds of medieval french cities : Players, patrons and politics" Gretchen Peters, Cambridge Univ. Press, 2012).
**Des AMIEL chevaliers de ST JEAN de JERUSALEM à ST GILLES** :
Dans le répertoire de cet ordre pour le Grand Prieuré de Saint-Gilles sont mentionnés : Raymond et Aldebert Amiel en 1338; pour la même année encore Bernard ainsi qu'un homonyme de ce dernier en 1426; en 1482 balthazar Amiel. En 1338 le nom de Jean Amiel, probablement parent des deux premiers et lui seulement "frère servant".
(=> "Essai sur le Grand Prieuré de St Gilles de l'Ordre de St Jean de Jérusalem" E. F. de Grasset, paris, Dupont, 1869).
Deletions:
(=> "The musical sounds of medieval french cities : Players, patrons and politics" Gretchen Peters, Cambridge Univ. Press, 2012).
Additions:
//INDEX ONOMASTIQUE// :
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Additions:
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel). (rèf. "Vitae pap. Arca." de Baluze, 1693 T. I, 910-2, 1433).
Deletions:
Additions:
Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de Parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * Jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges * Les Amelier troubadours de Montpellier *
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
**Les AMELIER troubadours de MONTPELLIER** :
Le nom Amelier, dérivant d'Amelhier occitan et d'Ameilh, a été vu pour un poète toulousain du XIIème S.. A Montpellier ce nom est connu aussi : Jacques Amelier, marchand, y est cité en 1363 pour la possession d'une maison dans le faubourg qu'il vend à l'hôpital (inventaire des cartulaires de Montpellier 1901). Plus tard, par le rôle de paiement des "troubadours consulaires" on a le nom de plusieurs autres : Peyre Amelier en 1455 est cité avec celui de Hugon Amelier (des frères?); le nom d'Hugon est aussi écrit Melleri curieusement et on le voit longtemps à ce poste, en 1480, 1481, 1482, 1489, 1492 et 1494 ! Suit son fils en 1496...C'est, d'après l'étude de la recension, la seule famille locale qui a donné à la ville ces troubadours officiels pendant quasiment 1/2 siècle !
(=> "The musical sounds of medieval french cities : Players, patrons and politics" Gretchen Peters, Cambridge Univ. Press, 2012).
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
**Les AMELIER troubadours de MONTPELLIER** :
Le nom Amelier, dérivant d'Amelhier occitan et d'Ameilh, a été vu pour un poète toulousain du XIIème S.. A Montpellier ce nom est connu aussi : Jacques Amelier, marchand, y est cité en 1363 pour la possession d'une maison dans le faubourg qu'il vend à l'hôpital (inventaire des cartulaires de Montpellier 1901). Plus tard, par le rôle de paiement des "troubadours consulaires" on a le nom de plusieurs autres : Peyre Amelier en 1455 est cité avec celui de Hugon Amelier (des frères?); le nom d'Hugon est aussi écrit Melleri curieusement et on le voit longtemps à ce poste, en 1480, 1481, 1482, 1489, 1492 et 1494 ! Suit son fils en 1496...C'est, d'après l'étude de la recension, la seule famille locale qui a donné à la ville ces troubadours officiels pendant quasiment 1/2 siècle !
(=> "The musical sounds of medieval french cities : Players, patrons and politics" Gretchen Peters, Cambridge Univ. Press, 2012).
Deletions:
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
Additions:
**BERNARD AMIEL et des AMIEL localisés à CARCASSONNE** :
Bernard Amiel, consul de Carcassonne est connu dans le 1er quart du XIVème S. Il prête serment dans un acte de 1324, le 6 des calendes de mars.
C'est aussi par les "cahiers", registres de comptes et d'activité de la Confrérie de N-D de Fanjeaux créée en 1420 à Carcassonne que l'on peut connaitre et localiser des habitants de ce temps-là. Le 7ème cahier qui correspond à 1426, cite donc les "jurats" de cette année-là, ceux qui ont prêté serment, tous "cap d'ostals", c'est-à-dire chefs de maison(née), de famille et ils sont classés suivant la situation du lieu de leur maison (de la Ville Basse ou Bastide, et non de la Cité) : ainsi "Carrieyra de Sant Miquel , banda daquilo, cap daval" (rue St Michel, côté au vent, dans la partie basse) demeurent Bernard Amiel, "tesseyre" (tisserand de 'drap de Carcassonne') voisin d'Amiel Griffe "laurador" (laboureur) et plus bas Amiel Artaud "pescaïre" (pêcheur). "Dona Amielha, veuza" (Mme Amiel veuve) habite, elle, "Carrieyra Major banda de mieg-jorn cap d'amont" (Grand'Rue, rue de Verdun de nos jours, côté du midi, partie haute). Hors les murs des fortifications de la ville nouvelle dans un des "barris" (faubourgs) on trouve celle de Johan Amiel, "bastier" et "hostalier" (maçon et bâtisseur de maisons et non pas hôtelier !).
Bernard Amiel, consul de Carcassonne est connu dans le 1er quart du XIVème S. Il prête serment dans un acte de 1324, le 6 des calendes de mars.
C'est aussi par les "cahiers", registres de comptes et d'activité de la Confrérie de N-D de Fanjeaux créée en 1420 à Carcassonne que l'on peut connaitre et localiser des habitants de ce temps-là. Le 7ème cahier qui correspond à 1426, cite donc les "jurats" de cette année-là, ceux qui ont prêté serment, tous "cap d'ostals", c'est-à-dire chefs de maison(née), de famille et ils sont classés suivant la situation du lieu de leur maison (de la Ville Basse ou Bastide, et non de la Cité) : ainsi "Carrieyra de Sant Miquel , banda daquilo, cap daval" (rue St Michel, côté au vent, dans la partie basse) demeurent Bernard Amiel, "tesseyre" (tisserand de 'drap de Carcassonne') voisin d'Amiel Griffe "laurador" (laboureur) et plus bas Amiel Artaud "pescaïre" (pêcheur). "Dona Amielha, veuza" (Mme Amiel veuve) habite, elle, "Carrieyra Major banda de mieg-jorn cap d'amont" (Grand'Rue, rue de Verdun de nos jours, côté du midi, partie haute). Hors les murs des fortifications de la ville nouvelle dans un des "barris" (faubourgs) on trouve celle de Johan Amiel, "bastier" et "hostalier" (maçon et bâtisseur de maisons et non pas hôtelier !).
Deletions:
C'est par les "cahiers", registres de comptes et d'activité de la Confrérie de N-D de Fanjeaux créée en 1420 à Carcassonne que l'on peut connaitre et localiser des habitants de ce temps-là. Le 7ème cahier qui correspond à 1426, cite donc les "jurats" de cette année-là, ceux qui ont prêté serment, tous "cap d'ostals", c'est-à-dire chefs de maison(née), de famille et ils sont classés suivant la situation du lieu de leur maison (de la Ville Basse ou Bastide, et non de la Cité) : ainsi "Carrieyra de Sant Miquel , banda daquilo, cap daval" (rue St Michel, côté au vent, dans la partie basse) demeurent Bernard Amiel, "tesseyre" (tisserand de 'drap de Carcassonne') voisin d'Amiel Griffe "laurador" (laboureur) et plus bas Amiel Artaud "pescaïre" (pêcheur). "Dona Amielha, veuza" (Mme Amiel veuve) habite, elle, "Carrieyra Major banda de mieg-jorn cap d'amont" (Grand'Rue, rue de Verdun de nos jours, côté du midi, partie haute). Hors les murs des fortifications de la ville nouvelle dans un des "barris" (faubourgs) on trouve celle de Johan Amiel, "bastier" et "hostalier" (maçon et bâtisseur de maisons et non pas hôtelier !).
Additions:
Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de Parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * Jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges *
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem en 1349. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
Deletions:
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
Additions:
Amiel de Lautrec cardinal * Pierre Amielh ambassadeur en Espagne * Helias & Guillaume Amyel en Saintonge * Dame Amiel de Blâmont en Lorraine * Fauro & Naudo Amielh à Pamiers * Jacques & Jean Amiel à Montgey * Un Amiel narbonnais à Chypre * Barthélémy Amiel à Montréal * Arnaud et Bernard Amiel à Villegailhenc * Amiel de Serviès * Marie Amielle * Le moine Raymond Amiel de St Polycarpe * Les abbesses Amelia à Rieunette * Messire Amielh de Frétin * Des Amiel belges à Liège * Amiel de parfontrieu ou de Ramey * Des Amiel à Carcassonne * Jean Amiel de Lagrasse * "Je suis le seau à Ami-i-el" * jean d'Amelia à Nîmes * Amiel de Peyrepertuse * Jehan de l'Amiel * Bertrand d'Amelz * Deux Amiel de la Compagnie du comte de Foix * Amiel de Gombert * Des Amiel potiers à Biot * Ralph Amiel à Londres * Pietro Miani * Johannes de Miliis * Frère Amelius de Emael * Maistre Johan Amiel * Nicolas de Vienne dit Amyel * Amiel de Poulan * Ameil Amelière à Avignon * Raymond I & II 'Amélie' Abbés de Loc-Dieu * Guillaume Amiel de Beronia * Jean Amelii de Sconouwen * D'autres Amelius belges * Marco Polo "Il Milioni" ! ?* Guillaume Amiel de Limoges *
(=> beaucoup de références dont : "Les routes de la soie" F. Pernot, Artemis, 2007; "Marco Polo" J. Heers, Fayart, 1983; "Marco Polo Le Million" Luigi Foscolo Benedict, Florence, 1928 cité in "Il Milione" De Agostini p.22; "Marco Polo et le Livre des Merveilles...." Ranieri Alluli, Milan Mandadori, 1954, p.26 où cet auteur écrit "...vouloir reconnaitre dans le mot Million la forme réduite d'un Emilione diminutif...qui semble avoir servi à mieux identifier notre titre, en le distinguant des autres surnoms de la famille".)
**GUILLAUME AMIEL de LIMOGES** :
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
(=> beaucoup de références dont : "Les routes de la soie" F. Pernot, Artemis, 2007; "Marco Polo" J. Heers, Fayart, 1983; "Marco Polo Le Million" Luigi Foscolo Benedict, Florence, 1928 cité in "Il Milione" De Agostini p.22; "Marco Polo et le Livre des Merveilles...." Ranieri Alluli, Milan Mandadori, 1954, p.26 où cet auteur écrit "...vouloir reconnaitre dans le mot Million la forme réduite d'un Emilione diminutif...qui semble avoir servi à mieux identifier notre titre, en le distinguant des autres surnoms de la famille".)
**GUILLAUME AMIEL de LIMOGES** :
Cet personnage fut d'abord Prévôt de Lavaur (81) puis évêque d'Apt en 1341, l'année suivante de Chartres et enfin Patriarche de Jérusalem. Il administra par la suite le siège de Fréjus. Il est mort à Montpellier le 9 juin 1360 mais fut enseveli à Limoges, sa terre natale (d'où son nom habituel).
Deletions:
(=> beaucoup de références dont : "Les routes de la soie" F. Pernot, Artemis, 2007; "Marco Polo" J. Heers, Fayart, 1983; "Marco Polo Le Million" Luigi Foscolo Benedict, Florence, 1928 cité in "Il Milione" De Agostini p.22; "Marco Polo et le Livre des Merveilles...." Ranieri Alluli, Milan Mandadori, 1954, p.26 où cet auteur écrit "...vouloir reconnaitre dans le mot Million la forme réduite d'un Emilione diminutif...qui semble avoir servi à mieux identifier notre titre, en le distinguant des autres surnoms de la famille".)