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Additions:
**Un DICTIONNAIRE ANGELIQUE AMIELIEN (quelques démons s'y sont glissé !)** :
- **L'ange militaire pacifique ALAMIEL **:
-**L'ange SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons **:
- **L'ange militaire pacifique ALAMIEL **:
-**L'ange SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons **:
Deletions:
// L'ange militaire pacifique ALAMIEL// :
//L'ange SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons// :
Additions:
Dans la Bible les anges sont cités plus de 300 fois. Le Livre de l'Apocalypse nous indique qu'il y en a des "myriades" et dans la Genèse ce sont eux qui sont chargés de fermer le Paradis terrestre. Le Nouveau Testament leur donne une large place, ils sont présents dans de nombreux évènements de la vie du Christ auxquels Dieu envoie d'ailleurs les meilleurs d'entre eux.
Additions:
-1- __Enoch dans la Genèse biblique__, est le 7ème descendant d'Adam (correspondant au roi antédéluvien chaldéen de même rang), à ne pas confondre avec Enosh qui, lui, est le petit-fils d'Adam et correspond à l'Amelon chaldéen (voir pages précédentes). Enoch avait selon la signification de son nom, une étroite relation avec Dieu ( "Il marchait avec Dieu" dit l'Ancien Testament) et, comme quelques très rares humains bibliques, il n'a pas connu les affres de la mort, ("Dieu le prit" selon l'A. Test.). Un livre dit d'Enoch l'Ethiopien lui est attribué: on a retrouvé des fragments de quelques 40 copies de ces écrits en araméen et en grec (notamment à Qumran) et une seule version en latin. Le texte aurait été rédigé pour partie au moins, entre le tout début du IIIème S. et le Ier S. av. J-C. Il contient des références antérieures à la période de la révolte des Maccabées, il a été utilisé dans d'autres œuvres apocryphes mais aussi dans le Nouveau testament, par ex. dans l'épitre de Barnabé (compagnon de Paul) et dans l'Apocalypse de Pierre. Mais le plus intéressant c'est qu'il semble être à la base de concepts dans les Evangiles chrétiens et dans l'Apocalypse de Jean, seule admise par l'Eglise catholique. D'ailleurs, des témoignages des Pères de l'Eglise montrent bien qu'ils connaissaient ce livre et l'avaient même en haute estime. C'est ce que l'on peut voir chez Justin, Irénée de Lyon, Origène ou Clément d'Alexandrie, mais surtout chez Tertullien qui le dit, lui, explicitement.
* L'œuvre elle-même est divisée en cinq parties ou Livres (d'où le nom de Pentateuque) :
1er : Le Livre de l'Observation (chap 1 à 36) rédigé entre ~ -200 et -175, 2ème : le Livre des Ressemblances (chap 37 à 71) entre ~-100 et -68, 3ème : le Livre d'Astronomie (chap 72 à 82) vers -300, 4ème : le Livre des Visions (chap 83 à 90) entre -164 et -160 et 5ème : le Livre de l'Epitre d'Enoch (chap 91 à 107) écrit entre -200 et -169.
On aperçoit déjà dans ces titres combien les vieux mythes chaldéens transparaissent. Pour le Livre de l'Astronomie, son ancienneté est attestée par l'historien juif Eupolemos qui, écrivant vers -158 y fait allusion; il donne un récit détaillé des temps abramaniques (à ce jour non attestés historiquement) où il dit que le peuple hébreu est l'inventeur et le père de l'astronomie (apportée selon Bérose aux temps des rois antédéluviens par ces fameux monstres mythiques). C'est même Abraham qui aurait instruit de ces choses les Phéniciens, qui, il est vrai furent de sacrés navigateurs en Méditerranée notamment. C'est encore grâce aux hébreux que les Egyptiens des lointains temps pharaoniques (XIVème S. av. notre ère) auraient su lire eux aussi les Astres et qu'ils auraient initié le culte de Râ, le soleil, à Héliopolis, sa ville, et peut-être même celui du fameux dieu Amon (devenu Amon-Rê, et l'Ammon des vieux peuples de Perse-Mésopotamie) un dieu supérieur aux autres, le seul dieu qu'un pharaon osa magnifier exclusivement en éliminant tous les autres via le nom d'Aton, le dieu unique et parfait, tout-puissant (un concurrent involontaire d'Ahura-Mazda des zoroastriens ou mazdéens duquel s'inspireront aussi les juifs). Ce seul vrai dieu pourrait être éventuellement reparti, après la mort de son initiateur, de plus belle avec les hébreux de Moïse fuyant l'Egypte, perfectionné ensuite par l'emprunt au zoroastrisme, pour une grande destinée qui se poursuit toujours parmi les hommes à travers les trois religions du Livre bien connues; un dieu unique qu'ils purent retrouver en El connu, lui, par d'autres origines comme je le détaille dans la partie "Amiel hébreux".
Les noms des anges sont apparemment d'origine zoroastrienne et ont été empruntés par les juifs lors de leur captivité à Babylone (selon rabbi Siméon Ben Lakish de Tibériade qui vécut entre 230 et 270, corroboré par les historiens actuels) tout comme les nombreux détails de la hiérarchie angélique. Le suffixe El signifiant alors dans ces noms non pas directement le nom de Dieu, plutôt "l'être brillant". Mais il faut surtout dire qu'il est bien difficile de s'y retrouver dans ce domaine d'êtres assez vagues et insaisissables, autant pour ceux qui nous viennent de Dieu que pour ceux qui nous viennent de son ennemi, les démons. Il se pourra donc que je m'emmêle les pinceaux en parlant des uns comme en parlant des autres; de toutes façons ce qu'on peut en dire ne pourrait être considéré comme 'parole d'évangile' et l'on voudra ne pas m'en tenir rigueur. Il faut dire aussi que ces créatures viennent judicieusement remplacer dans le cadre d'un monothéisme les dieux inférieurs des polythéismes antérieurs. Ces anges seront, il me semble, à leur tour, remplacés, en grande partie du moins, dans le christianisme, par le culte des saints, ces derniers devenant des héros religieux intercesseurs et constituant un véritable pont entre la terre et le ciel.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephthemel'Amiel Ha[....]....Athanael, Amen !" (répertorié : n°132) dont la signification n'est pas indiquée.
//NB : Sur ce sujet j'ai pensé nécessaire d'écrire en complément plusieurs "dossiers spéciaux" : La Kabbale et ses séphirot; Généralités sur les anges chez les juifs et les chrétiens; La Guematria; Applications sur les nom de Dieu et d'Amiel, l'essai du Cardinal Amiel.//
° L'Ars Theurgia Goetia (L. II) : qui décrit les esprits en partie bons et en partie mauvais; il fait directement référence au roi Salomon pour ces noms qu'il aurait invoqué ou dont il se serait gardé selon cette tradition.
* L'œuvre elle-même est divisée en cinq parties ou Livres (d'où le nom de Pentateuque) :
1er : Le Livre de l'Observation (chap 1 à 36) rédigé entre ~ -200 et -175, 2ème : le Livre des Ressemblances (chap 37 à 71) entre ~-100 et -68, 3ème : le Livre d'Astronomie (chap 72 à 82) vers -300, 4ème : le Livre des Visions (chap 83 à 90) entre -164 et -160 et 5ème : le Livre de l'Epitre d'Enoch (chap 91 à 107) écrit entre -200 et -169.
On aperçoit déjà dans ces titres combien les vieux mythes chaldéens transparaissent. Pour le Livre de l'Astronomie, son ancienneté est attestée par l'historien juif Eupolemos qui, écrivant vers -158 y fait allusion; il donne un récit détaillé des temps abramaniques (à ce jour non attestés historiquement) où il dit que le peuple hébreu est l'inventeur et le père de l'astronomie (apportée selon Bérose aux temps des rois antédéluviens par ces fameux monstres mythiques). C'est même Abraham qui aurait instruit de ces choses les Phéniciens, qui, il est vrai furent de sacrés navigateurs en Méditerranée notamment. C'est encore grâce aux hébreux que les Egyptiens des lointains temps pharaoniques (XIVème S. av. notre ère) auraient su lire eux aussi les Astres et qu'ils auraient initié le culte de Râ, le soleil, à Héliopolis, sa ville, et peut-être même celui du fameux dieu Amon (devenu Amon-Rê, et l'Ammon des vieux peuples de Perse-Mésopotamie) un dieu supérieur aux autres, le seul dieu qu'un pharaon osa magnifier exclusivement en éliminant tous les autres via le nom d'Aton, le dieu unique et parfait, tout-puissant (un concurrent involontaire d'Ahura-Mazda des zoroastriens ou mazdéens duquel s'inspireront aussi les juifs). Ce seul vrai dieu pourrait être éventuellement reparti, après la mort de son initiateur, de plus belle avec les hébreux de Moïse fuyant l'Egypte, perfectionné ensuite par l'emprunt au zoroastrisme, pour une grande destinée qui se poursuit toujours parmi les hommes à travers les trois religions du Livre bien connues; un dieu unique qu'ils purent retrouver en El connu, lui, par d'autres origines comme je le détaille dans la partie "Amiel hébreux".
Les noms des anges sont apparemment d'origine zoroastrienne et ont été empruntés par les juifs lors de leur captivité à Babylone (selon rabbi Siméon Ben Lakish de Tibériade qui vécut entre 230 et 270, corroboré par les historiens actuels) tout comme les nombreux détails de la hiérarchie angélique. Le suffixe El signifiant alors dans ces noms non pas directement le nom de Dieu, plutôt "l'être brillant". Mais il faut surtout dire qu'il est bien difficile de s'y retrouver dans ce domaine d'êtres assez vagues et insaisissables, autant pour ceux qui nous viennent de Dieu que pour ceux qui nous viennent de son ennemi, les démons. Il se pourra donc que je m'emmêle les pinceaux en parlant des uns comme en parlant des autres; de toutes façons ce qu'on peut en dire ne pourrait être considéré comme 'parole d'évangile' et l'on voudra ne pas m'en tenir rigueur. Il faut dire aussi que ces créatures viennent judicieusement remplacer dans le cadre d'un monothéisme les dieux inférieurs des polythéismes antérieurs. Ces anges seront, il me semble, à leur tour, remplacés, en grande partie du moins, dans le christianisme, par le culte des saints, ces derniers devenant des héros religieux intercesseurs et constituant un véritable pont entre la terre et le ciel.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephthemel'Amiel Ha[....]....Athanael, Amen !" (répertorié : n°132) dont la signification n'est pas indiquée.
//NB : Sur ce sujet j'ai pensé nécessaire d'écrire en complément plusieurs "dossiers spéciaux" : La Kabbale et ses séphirot; Généralités sur les anges chez les juifs et les chrétiens; La Guematria; Applications sur les nom de Dieu et d'Amiel, l'essai du Cardinal Amiel.//
° L'Ars Theurgia Goetia (L. II) : qui décrit les esprits en partie bons et en partie mauvais; il fait directement référence au roi Salomon pour ces noms qu'il aurait invoqué ou dont il se serait gardé selon cette tradition.
Deletions:
* L'œuvre elle-même est divisée en cinq parties ou Livres (d'où le nom de Pentateuque) : 1ère : Le Livre de l'Observation (chap 1 à 36) rédigé entre ~ -200 et -175, 2ème : le Livre des Ressemblances (chap 37 à 71) entre ~-100 et -68, 3ème : le Livre d'Astronomie (chap 72 à 82) vers -300, 4ème : le Livre des Visions (chap 83 à 90) entre -164 et -160 et 5ème : le Livre de l'Epitre d'Enoch (chap 91 à 107) écrit entre -200 et -169. On aperçoit déjà dans ces titres combien les vieux mythes chaldéens transparaissent. Pour le Livre de l'Astronomie, son ancienneté est attestée par l'historien juif Eupolemos qui, écrivant vers -158 y fait allusion; il donne un récit détaillé des temps abramaniques (à ce jour non attestés historiquement) où il dit que le peuple hébreu est l'inventeur et le père de l'astronomie (apportée selon Bérose aux temps des rois antédéluviens par ces fameux monstres mythiques). C'est même Abraham qui aurait instruit de ces choses les Phéniciens, qui, il est vrai furent de sacrés navigateurs en Méditerranée notamment. C'est encore grâce aux hébreux que les Egyptiens des lointains temps pharaoniques (XIVème S. av. notre ère) auraient su lire eux aussi les Astres et qu'ils auraient initié le culte de Râ, le soleil, à Héliopolis, sa ville, et peut-être même celui du fameux dieu Amon (devenu Amon-Rê, et l'Ammon des vieux peuples de Perse-Mésopotamie) un dieu supérieur aux autres, le seul dieu qu'un pharaon osa magnifier exclusivement en éliminant tous les autres via le nom d'Aton, le dieu unique et parfait, tout-puissant (un concurrent involontaire d'Ahura-Mazda des zoroastriens ou mazdéens duquel s'inspireront aussi les juifs). Ce seul vrai dieu pourrait être éventuellement reparti, après la mort de son initiateur, de plus belle avec les hébreux de Moïse fuyant l'Egypte, perfectionné ensuite par l'emprunt au zoroastrisme, pour une grande destinée qui se poursuit toujours parmi les hommes à travers les trois religions du Livre bien connues; un dieu unique qu'ils purent retrouver en El connu, lui, par d'autres origines comme je le détaille dans la partie "Amiel hébreux".
- Les noms des anges sont apparemment d'origine zoroastrienne et ont été empruntés par les juifs lors de leur captivité à Babylone (selon rabbi Siméon Ben Lakish de Tibériade qui vécut entre 230 et 270, corroboré par les historiens actuels) tout comme les nombreux détails de la hiérarchie angélique. Le suffixe El signifiant alors dans ces noms non pas directement le nom de Dieu, plutôt "l'être brillant". Mais il faut surtout dire qu'il est bien difficile de s'y retrouver dans ce domaine d'êtres assez vagues et insaisissables, autant pour ceux qui nous viennent de Dieu que pour ceux qui nous viennent de son ennemi, les démons. Il se pourra donc que je m'emmêle les pinceaux en parlant des uns comme en parlant des autres; de toutes façons ce qu'on peut en dire ne pourrait être considéré comme 'parole d'évangile' et l'on voudra ne pas m'en tenir rigueur. Il faut dire aussi que ces créatures viennent judicieusement remplacer dans le cadre d'un monothéisme les dieux inférieurs des polythéismes antérieurs. Ces anges seront, il me semble, à leur tour, remplacés, en grande partie du moins, dans le christianisme, par le culte des saints, ces derniers devenant des héros religieux intercesseurs et constituant un véritable pont entre la terre et le ciel.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephtemel' Amiel Ha[....]....Athanael, Amen !" (répertorié : n°132).
NB : Sur ce sujet j'ai pensé nécessaire d'écrire en complément plusieurs "dossiers spéciaux" : La Kabbale et ses séphirot; Généralités sur les anges chez les juifs et les chrétiens; La Guematria; Applications sur les nom de Dieu et d'Amiel, l'essai du Cardinal Amiel.
° L'Ars Theurgia Goetia (L. II) : qui décrit les esprits en partie bons et en partie mauvais; il fait directement référence au roi Salomon pour ces noms qu'il aurait invoqué ou dont il se serait gardé.
Additions:
D'abord il faut dire qu'un chérubin bien qu'évoluant dans le monde angélique, n'est qu'une 'petite main'; ces êtres bien que supérieurs ne sont conçus et connus que ressemblant plus à des animaux qu'à des anges (selon la forme que l'on en donne), ce qu'ils ne sont en aucun cas ! Ces êtres angéliques hybrides dirons -nous sont soit des gardiens soit des messagers importants; ces postiers de Dieu en quelque sorte dont le nom même, en assyrien, vient de 'keroub' et signifie en effet "ceux qui communiquent", représentés au seuil des temples de cette nation par des taureaux ailés, repris donc dans la main d'oeuvre divine, porteurs de messages divins, sont représentés chevauchant de blanches montures de lumière, revêtus d'armures éclatantes quand même afin de combattre, chemin faisant si besoin, monstres et autres hydres qu'ils rencontreraient et qui pourraient gêner leur devoir. Rien à voir donc avec ces petits enfants potelés et munis d'ailes qui peuplent tant de coins de retables et autres recoins baroques nommés 'putti'. Saramiel serait l'un de ces êtres divins inférieurs et ce nom qui, sur terre signifie "prince du peuple de mon dieu", de Dieu, a, dans les cieux le sens de "Bouclier de Dieu".
Comme on le sait les artistes se sont essayé à représenter ces créatures célestes, à en donner des représentations allégoriques; toutes seront dotées d'ailes, les démons représentés selon un aspect effrayant, aux figures d'un rire grimaçant, faisant penser à d'énormes chauves-souris aux couleurs rougeâtres, les anges présentant des statures humaines graciles et souriant (cf. l'ange au sourire de Reims) aux formes, figures et couleurs douces et claires. Outre Solamiel et Alamiel dont je parle ci-après, on peut citer aussi des essais de représentation effectués pour donner un visage à l'ange Tamiel : Vincent Vidal, peintre né à Carcassonne en 1811, avait la pratique de cet art, ayant réalisé nombre de dessins, des portraits souvent au pastel dont notamment plusieurs figures pour ce Tamiel : "Tamiel et Léa", sujet tiré des "Amours des Anges" par ex. (cf. Dict. Gén. des Artistes de l'Ecole Française de Bellier de La Chavignerie, 1882-1885).
// L'ange militaire pacifique ALAMIEL// :
//L'ange SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons// :
Comme on le sait les artistes se sont essayé à représenter ces créatures célestes, à en donner des représentations allégoriques; toutes seront dotées d'ailes, les démons représentés selon un aspect effrayant, aux figures d'un rire grimaçant, faisant penser à d'énormes chauves-souris aux couleurs rougeâtres, les anges présentant des statures humaines graciles et souriant (cf. l'ange au sourire de Reims) aux formes, figures et couleurs douces et claires. Outre Solamiel et Alamiel dont je parle ci-après, on peut citer aussi des essais de représentation effectués pour donner un visage à l'ange Tamiel : Vincent Vidal, peintre né à Carcassonne en 1811, avait la pratique de cet art, ayant réalisé nombre de dessins, des portraits souvent au pastel dont notamment plusieurs figures pour ce Tamiel : "Tamiel et Léa", sujet tiré des "Amours des Anges" par ex. (cf. Dict. Gén. des Artistes de l'Ecole Française de Bellier de La Chavignerie, 1882-1885).
// L'ange militaire pacifique ALAMIEL// :
//L'ange SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons// :
Deletions:
Comme on le sait les artistes se sont essayé à représenter ces créatures célestes, à en donner des représentations allégoriques; toutes seront dotées d'ailes, les démons représentés selon un aspect effrayant, aux figures d'un rire grimaçant, faisant penser à d'énormes chauves-souris aux couleurs rougeâtres, les anges présentant des statures humaines graciles aux formes, figures et couleurs douces et claires. Outre Solamiel et Alamiel dont je parle ci-après, on peut citer aussi des essais de représentation effectués pour donner un visage à l'ange Tamiel : Vincent Vidal, peintre né à Carcassonne en 1811, avait la pratique de cet art, ayant réalisé nombre de dessins, des portraits souvent au pastel dont notamment plusieurs figures pour ce Tamiel : "Tamiel et Léa", sujet tiré des "Amours des Anges" par ex. (cf. Dict. Gén. des Artistes de l'Ecole Française de Bellier de La Chavignerie, 1882-1885).
// L'ANGE MILITAIRE PACIFIQUE ALAMIEL// :
//L'ANGE SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons// :
Additions:
-3- __Enoch aurait été le premier homme informé de la Science comme de la Sagesse__ et le père de la division terrestre du temps, qui, il est vrai est très ancienne et procède d'observations minutieuses du cours de notre astre, comme des autres astres célestes, réalisés d'une façon remarquable pour ces temps, mais il semble qu'il faille relier plus prosaïquement cette science à l'agriculture et donc à la sédentarisation. Enoch aurait été initié à ces mystères astronomiques par l'archange Remeiel (version religieuse des monstres de Bérose). Rémeiel est l'un des noms du dernier archange du septuor archangélique indiqué dans le Livre I d'Enoch; l'un des noms aussi de Ramiel (en grec et syriaque) ou encore Rumael, voire Jeremiel (de l'éthiopien Iyârumial) qui signifie "Lumière de Dieu" !. Dans le Livre des Ressemblances il est remplacé par Uriel. Le ciel serait organisé mathématiquement et systématiquement par Dieu pour lequel des milliers d'anges travaillent dans cet ensemble astronomique assimilable à un organisme vivant, vu comme un ensemble de cellules ayant chacune leur propre finalité, un ensemble que la science a, elle, soumis à des lois physiques et chimiques naturelles d'une certaine logique, un infiniment grand organisé comme l'infiniment petit (cf. notions du macrocosme et du microcosme). En ce qui concerne le Livre des Observations, certains pensent que les versets 6 à 14 de la Genèse sont un résumé des chap. 6 à 19 du Livre d'Enoch; il contient en effet l'histoire de la rébellion des anges en détail (dont celle de Ram'Amiel) et la trop connue histoire du Déluge et de Noé, envoyé là par Dieu en punition du mal régnant chez les hommes; un mal qui a aussi des racines profondes qu'il faut attribuer à ces anges rebelles et aux pouvoirs démoniaques des affidés de Satan (cf. le zoroastrisme).
-5- __La religion s'intéressera surtout aux anges__ afin d'éduquer les hommes aux valeurs morales quand le fantastique mettra en avant les démons et leurs déviances si bassement humaines; au XVIème S. apparaitra le mythe de Faust d'après un conte populaire allemand et nombre de grands hommes reprendront ce thème du rapport improbable entre ces êtres dévoyés et les hommes qu'ils sont censés tenter et détourner du plan divin. D'un côté le Bien et ses vertus préparant au Paradis de l'autre le Mal et ses vices menant aux affres de l'Enfer dont parleront l'italien Dante, le poète Goethe, le philosophe Paul Valéry ou les compositeurs Berlioz, Gounod. Un thème repris de façon comique mais très parlante par l'inattendue réalisatrice Josiane Balasko dans "Ma vie est un enfer" il y a peu (1991, un des rôles mineurs est tenu par Michèle Amiel) avec toutefois une conclusion bien plus prosaïque: l'enfer est déjà sur terre, nul besoin des démons pour déréguler, ni non plus de l'archange Gabriel et de l'entreprise angélique divine pour tenter de réguler la vie des pauvres humains (violents et mortels) que nous ne cessons d'être.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephtemel' Amiel Ha[....]....Athanael, Amen !" (répertorié : n°132).
Le traité principal de magie rituelle est le Lemegeton ou Clavicule de Salomon, un ouvrage anonyme anglais du XVIIème S. Il réunit en cinq livres une compilation de textes antérieurs qui circulaient déjà indépendamment les uns des autres depuis longtemps. Si on ne sait pas trop à quand remontent certains, il en est au moins un (L. V) dont on peut dire qu'il a circulé déjà, sous différentes formes depuis le XIIIème S. L'ensemble est attribué au roi Salomon dont la sagesse proverbiale bien connue a fait de lui un maître ésotérique, un alchimiste même et un pseudo-auteur de ce traité de magie. On citera des noms plus ou moins amiéliens, tous d'origine ou formés d'après la langue hébraïque et relevés dans les livres ou 'Ars' suivants de cette 'clé' de Salomon:
-5- __La religion s'intéressera surtout aux anges__ afin d'éduquer les hommes aux valeurs morales quand le fantastique mettra en avant les démons et leurs déviances si bassement humaines; au XVIème S. apparaitra le mythe de Faust d'après un conte populaire allemand et nombre de grands hommes reprendront ce thème du rapport improbable entre ces êtres dévoyés et les hommes qu'ils sont censés tenter et détourner du plan divin. D'un côté le Bien et ses vertus préparant au Paradis de l'autre le Mal et ses vices menant aux affres de l'Enfer dont parleront l'italien Dante, le poète Goethe, le philosophe Paul Valéry ou les compositeurs Berlioz, Gounod. Un thème repris de façon comique mais très parlante par l'inattendue réalisatrice Josiane Balasko dans "Ma vie est un enfer" il y a peu (1991, un des rôles mineurs est tenu par Michèle Amiel) avec toutefois une conclusion bien plus prosaïque: l'enfer est déjà sur terre, nul besoin des démons pour déréguler, ni non plus de l'archange Gabriel et de l'entreprise angélique divine pour tenter de réguler la vie des pauvres humains (violents et mortels) que nous ne cessons d'être.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephtemel' Amiel Ha[....]....Athanael, Amen !" (répertorié : n°132).
Le traité principal de magie rituelle est le Lemegeton ou Clavicule de Salomon, un ouvrage anonyme anglais du XVIIème S. Il réunit en cinq livres une compilation de textes antérieurs qui circulaient déjà indépendamment les uns des autres depuis longtemps. Si on ne sait pas trop à quand remontent certains, il en est au moins un (L. V) dont on peut dire qu'il a circulé déjà, sous différentes formes depuis le XIIIème S. L'ensemble est attribué au roi Salomon dont la sagesse proverbiale bien connue a fait de lui un maître ésotérique, un alchimiste même et un pseudo-auteur de ce traité de magie. On citera des noms plus ou moins amiéliens, tous d'origine ou formés d'après la langue hébraïque et relevés dans les livres ou 'Ars' suivants de cette 'clé' de Salomon:
Deletions:
-5- __La religion s'intéressera surtout aux anges__ afin d'éduquer les hommes aux valeurs morales quand le fantastique mettra en avant les démons et leurs déviances si bassement humaines; au XVIème S. apparaitra le mythe de Faust d'après un conte populaire allemand et nombre de grands hommes reprendront ce thème du rapport improbable entre ces êtres dévoyés et les hommes qu'ils sont censés tenter et détourner du plan divin. D'un côté le Bien et ses vertus préparant au Paradis de l'autre le Mal et ses vices menant aux affres de l'Enfer dont parleront le poète Goethe, le philosophe Paul Valéry ou les compositeurs Berlioz, Gounod. Un thème repris de façon comique mais très parlante par l'inattendue réalisatrice Josiane Balasko dans "Ma vie est un enfer" il y a peu (1991, un des rôles mineurs est tenu par Michèle Amiel) avec toutefois une conclusion bien plus prosaïque: l'enfer est déjà sur terre, nul besoin des démons pour déréguler, ni non plus de l'archange Gabriel et de l'entreprise angélique divine pour tenter de réguler la vie des pauvres humains (violents et mortels) que nous ne cessons d'être.
Enfin on a trouvé cet extrait fragmenté d'une longue prière invocatrice : "Oui, oui, je vous adjure par [votre] grand, vrai nom, Adonaï Ab. ami....Latosiel Bel Mouisephtemel' Amiel Ha[....]....Athanael, Amen ! (répertorié : n°132).
Le traité principal de magie rituelle est le Lemegeton ou Clavicule de Salomon, un ouvrage anonyme anglais du XVIIème S. Il réunit en cinq livres une compilation de textes antérieurs qui circulaient déjà indépendamment les uns des autres depuis longtemps. Si on ne sait pas trop à quand remontent certains, il en est au moins un (L. V) dont on peut dire qu'il a circulé déjà, sous différentes formes depuis le XIIIème S. L'ensemble est attribué au roi Salomon dont la sagesse proverbiale bien connue a fait de lui un maître ésotérique et un pseudo-auteur de ce traité de magie. On citera des noms plus ou moins amiéliens, tous d'origine ou formés d'après la langue hébraïque et relevés dans les livres ou 'Ars' suivants de cette 'clé' de Salomon:
Additions:
Comme on le sait les artistes se sont essayé à représenter ces créatures célestes, à en donner des représentations allégoriques; toutes seront dotées d'ailes, les démons représentés selon un aspect effrayant, aux figures d'un rire grimaçant, faisant penser à d'énormes chauves-souris aux couleurs rougeâtres, les anges présentant des statures humaines graciles aux formes, figures et couleurs douces et claires. Outre Solamiel et Alamiel dont je parle ci-après, on peut citer aussi des essais de représentation effectués pour donner un visage à l'ange Tamiel : Vincent Vidal, peintre né à Carcassonne en 1811, avait la pratique de cet art, ayant réalisé nombre de dessins, des portraits souvent au pastel dont notamment plusieurs figures pour ce Tamiel : "Tamiel et Léa", sujet tiré des "Amours des Anges" par ex. (cf. Dict. Gén. des Artistes de l'Ecole Française de Bellier de La Chavignerie, 1882-1885).
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**Les REPRESENTATIONS DES ANGES** :
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//L'ANGE SOLAMIEL de la Bible aux Francs-Maçons// :