Revision history for occsei713
Additions:
° La région et l'abbaye de Lézat est aussi celle de la famille de Baro qui fut en relation avec Amelius Géraud, père de Raimond Amelius, Géraud Amelius et Guilhem Amelius, probablement selon l'anthroponymie; ce dernier est vraissemblablement le "noble et très puissant" qui avec son fils Guilhem saisit le quart de l'église de Magrens dans la 2ème moitié du XIème S. Dans ce cadre cette saisie peut avoir été faite au nom de l'ancien possesseur la marquis Guilhem et de la clause de reprise qu'il avait imposée. Vers le milieu de ce même siècle un certain Sanche Baro eut une part de la même église et ses relations avec les Amelii de la région sont évidentes car par un texte on apprend que son fils unique Arnaud qui sera moine à Lézat eut auparavant un fils qui reçut le nom..... d'Amelius !
Deletions:
Additions:
Le cartulaire de le la Commanderie Templière de Trinquetaille dépendant du Grand Prieuré de St Gilles offre les noms de quelques Amelius : Guillaume, Guillaume-Bertrand, Renaud et son fils Hugues, Raimond et Frénérius Amelius.
Le chevalier Pons Amiel de Capdenac dont on a conservé le sceau figure dans une charte de 1242 ou 1243 conservée à Toulouse, sous le nom de Poncii Amelii. Celui de Amiel de Camlon (Campolongo, Camplong de nos jours) représente une tour, il est appendu à un acte par lequel les habitants de Laurac, en Lauragais, jurent fidélité au roi de France, à une époque semblable soit au milieu du XIIIème S. probablement après le traité de Paris. Précisons que Laurac fut la petite capitale du Lauragais, région qui porte son nom.
Le chevalier Pons Amiel de Capdenac dont on a conservé le sceau figure dans une charte de 1242 ou 1243 conservée à Toulouse, sous le nom de Poncii Amelii. Celui de Amiel de Camlon (Campolongo, Camplong de nos jours) représente une tour, il est appendu à un acte par lequel les habitants de Laurac, en Lauragais, jurent fidélité au roi de France, à une époque semblable soit au milieu du XIIIème S. probablement après le traité de Paris. Précisons que Laurac fut la petite capitale du Lauragais, région qui porte son nom.
Deletions:
Le chevalier Pons Amiel de Capdenac dont on a conservé le sceau figure dans une charte de 1242 ou 1243 conservée à Toulouse, sous le nom de Poncii Amelii. Celui de Amiel de Camlon (Campolongo, Camplong de nos jours) représente une tour, il est appendu à un acte par lequel les habitants de Laurac, en Lauragais, jurent fidélité au roi de France, à une époque semblable soit au milieu du XIIIème S. probablement après le traité de Paris.
Additions:
Ce personnage noble dont le nom exact fut Pons Amiel de Cahuzac du Verdier était un seigneur de l'Albigeois; la terre ancestrale du Verdier dont un ancêtre fut le titulaire déjà en 1080 se situait à 14km d'Albi. Il dut prêter serment à Alphonse de Poitiers, le seigneur français désigné en exécution du Traité de Paris de 1229 à la mort de Raymond VII pour prendre sa place. L'année précédente, un acte daté du 4 des calendes de janvier 1228 nous indique que Raymond qualifié Duc de Narbonne, Comte de Toulouse et Marquis de Provence, lui inféoda les seigneuries du Verdier et Donazac, devant qui il en rendit hommage peu après. La terre du Verdier qui fut le berceau familial resta dans cette famille jusqu'à la révolution au moins.
(=> "Dictionnaire Universel de la Noblesse de France" T. 4 M. de Courcelles, Paris 1820-22; "Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXème S." G. d'E-A, Evreux, Herissey, 1903).
(=> "Dictionnaire Universel de la Noblesse de France" T. 4 M. de Courcelles, Paris 1820-22; "Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXème S." G. d'E-A, Evreux, Herissey, 1903).
Deletions:
(=> "Dictionnaire Universel de la Noblesse de France" T. 4 M. de Courcelles; Paris 1820-22).
Additions:
**Les AMIEL d'ALBI & de VAOUR** :
En introduction aux Amiel du Tarn, il nous faut dire un mot sur les Amiel ou Ameil les plus anciens trouvés à Albi et à la Commanderie Templière de Vaour, près de Penne d'Albigeois, lieu insigne d'Amiel(s) nobles.
- Ameil de Cambirac & Ameil del Soler sont des "prohomes" d'Albi en 1188; avec leurs collègues représentant la communauté ils signent les conventions intervenues entre eux et l'évêque.
- Le Cartulaire des Templiers de Vaour qui doit beaucoup aux Amiel de Penne comporte parmi les actes d'entre 1143 & 1202 plusieurs autres Ameil(s). Ainsi peut-on lire, par ex. cette donation (en langue occitane) : "N'Aiglina, que fo filia Ameil Audeguer" (donne) "la sua terra et la sua honor....de la Comba de Cervinols adenat (attenant à) vas la maio (la maison) de Vaor..."; on y trouve aussi Ameil Cinfre lo fil (fils de) que fo Ameil Cincfre, de Biule et de N'Adalmus sa moiller (et de son épouse)" qui, lui, donne tous ses biens devant témoins. Ameil de Maurestain donne au temple, en plus de ses biens, sa personne (il devient ainsi un donat, un frère donné). Enfin Peire Ameils donne sa condamine du pré et des vignes "d'a Rauzargas...que que sia vas Puigsegoz"; il donne aussi "lo bosc de Murzengz".
(=> "Vieux noms de personnes, vieux noms de lieux de l'Albigeois" 2ème partie. A. Vidal, art. in Annales du Midi, 1922 / 134-135-136 / pp 401-405).
En introduction aux Amiel du Tarn, il nous faut dire un mot sur les Amiel ou Ameil les plus anciens trouvés à Albi et à la Commanderie Templière de Vaour, près de Penne d'Albigeois, lieu insigne d'Amiel(s) nobles.
- Ameil de Cambirac & Ameil del Soler sont des "prohomes" d'Albi en 1188; avec leurs collègues représentant la communauté ils signent les conventions intervenues entre eux et l'évêque.
- Le Cartulaire des Templiers de Vaour qui doit beaucoup aux Amiel de Penne comporte parmi les actes d'entre 1143 & 1202 plusieurs autres Ameil(s). Ainsi peut-on lire, par ex. cette donation (en langue occitane) : "N'Aiglina, que fo filia Ameil Audeguer" (donne) "la sua terra et la sua honor....de la Comba de Cervinols adenat (attenant à) vas la maio (la maison) de Vaor..."; on y trouve aussi Ameil Cinfre lo fil (fils de) que fo Ameil Cincfre, de Biule et de N'Adalmus sa moiller (et de son épouse)" qui, lui, donne tous ses biens devant témoins. Ameil de Maurestain donne au temple, en plus de ses biens, sa personne (il devient ainsi un donat, un frère donné). Enfin Peire Ameils donne sa condamine du pré et des vignes "d'a Rauzargas...que que sia vas Puigsegoz"; il donne aussi "lo bosc de Murzengz".
(=> "Vieux noms de personnes, vieux noms de lieux de l'Albigeois" 2ème partie. A. Vidal, art. in Annales du Midi, 1922 / 134-135-136 / pp 401-405).