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La vie de St François d'Assise (1181-1226) fut écrite par St Bonaventure; comme souvent dans les vies de personnages connus il y a des zones d'ombre; c'est le cas par exemple pour St Vincent de Paul; pour St François cette vieille hagiographie dit qu'il reçut les stigmates en 1224. Dans les temps modernes ce passage fut remplacé par un détail en comparaison : Il est dit à la place de ce miracle rare que St François aurait eu à cœur de venir à Paris, une ville qu'il aurait fort aimé parait-il mais que ses occupations ne le lui permirent pas; il aurait envoyé en lieu et place Frère Amiel, de ses proches disciples, avec le titre de Custode, pour ce faire les moines de St Germain des Prés lui auraient attribué une petite maison où le moine italien s'établit; ce titre de custode est spécial aux franciscains, il désigne le supérieur qui a la responsabilité d'une custodie, c'est à dire d'une province de la famille franciscaine, ici en l'occurrence celle de Paris. Dans cet épisode remanié serait donc l'origine de l'implantation parisienne des franciscains ? !
Ces sœurs sont des filles de l'excellente ancienne famille d'imprimeurs Amyel; une famille sur laquelle le sort parait s'être acharné, mystère pour lequel certains parleront de superstition quand d'autres n'y verront que sorcellerie. Elles sont surtout les actrices d'une histoire de dédoublement de la personnalité dans "Histoires fantastiques d'aujourd'hui" d'André Bay (Casterman 1965). Cette histoire de dédoublement fut reprise par plusieurs auteurs ensuite. Par Jean-Louis Bousquet dans "Les folles de la nuit" (Marabout, 1978) avec Pauline et le dernier descendant mâle des Amiel qu'il nomme Melchior, puis dans "Mondes noirs" (Union Générale d'Edition, 1980) par Francis Lacassin. Ce dernier auteur y reviendra dans une autre version quelques années plus tard. C'est en effet une histoire vue différemment que l'on trouve dans une autre série, "Mythologie du Fantastique" sous le titre "Les rivages de la nuit" parue en 1991 (Ed. du Rocher); Lacassin y présente Christine Amyel errant dans les rues du quartier du Marais à Paris, croyant véritablement revivre les menaces et les angoisses vécues par son aïeule Calliste Amyel, un siècle et demi plus tôt, pendant la révolution de 1789.
Outre le "père Amiel" cité dans la page 1 de la présente série littéraire, Jean Giono parle dans son œuvre "Le dernier feu" de deux autres Amiel, Augustine et Hilarion Amiel dans un roman où est narrée la vie quotidienne rurale en Haute-Provence il y a plus d'un siècle.
Un personnage nommé simplement Amiel est l'un des protagonistes d'une partie de cartes prétexte à surtout commenter la vie quotidienne locale. L'auteur est bien connu en terre d'Aude; il s'agit de Raymond Gougaud. Ce texte écrit en occitan s'appelle simplement "La partida de cartas" et fut publié dans la collection "Vendemias" à Villelongue d'Aude dans les années 1980.
C'est dans le roman en espagnol "El biografo de Nora Dalme" de César Gonzalez Bernabé que figure cet Amiel (Ed. Club Universitario, San Vicente, Alicante, 2009).
Ces sœurs sont des filles de l'excellente ancienne famille d'imprimeurs Amyel; une famille sur laquelle le sort parait s'être acharné, mystère pour lequel certains parleront de superstition quand d'autres n'y verront que sorcellerie. Elles sont surtout les actrices d'une histoire de dédoublement de la personnalité dans "Histoires fantastiques d'aujourd'hui" d'André Bay (Casterman 1965). Cette histoire de dédoublement fut reprise par plusieurs auteurs ensuite. Par Jean-Louis Bousquet dans "Les folles de la nuit" (Marabout, 1978) avec Pauline et le dernier descendant mâle des Amiel qu'il nomme Melchior, puis dans "Mondes noirs" (Union Générale d'Edition, 1980) par Francis Lacassin. Ce dernier auteur y reviendra dans une autre version quelques années plus tard. C'est en effet une histoire vue différemment que l'on trouve dans une autre série, "Mythologie du Fantastique" sous le titre "Les rivages de la nuit" parue en 1991 (Ed. du Rocher); Lacassin y présente Christine Amyel errant dans les rues du quartier du Marais à Paris, croyant véritablement revivre les menaces et les angoisses vécues par son aïeule Calliste Amyel, un siècle et demi plus tôt, pendant la révolution de 1789.
Outre le "père Amiel" cité dans la page 1 de la présente série littéraire, Jean Giono parle dans son œuvre "Le dernier feu" de deux autres Amiel, Augustine et Hilarion Amiel dans un roman où est narrée la vie quotidienne rurale en Haute-Provence il y a plus d'un siècle.
Un personnage nommé simplement Amiel est l'un des protagonistes d'une partie de cartes prétexte à surtout commenter la vie quotidienne locale. L'auteur est bien connu en terre d'Aude; il s'agit de Raymond Gougaud. Ce texte écrit en occitan s'appelle simplement "La partida de cartas" et fut publié dans la collection "Vendemias" à Villelongue d'Aude dans les années 1980.
C'est dans le roman en espagnol "El biografo de Nora Dalme" de César Gonzalez Bernabé que figure cet Amiel (Ed. Club Universitario, San Vicente, Alicante, 2009).
Deletions:
Ces sœurs sont des filles de l'excellente ancienne famille d'imprimeurs Amyel; une famille sur laquelle le sort parait s'être acharné, mystère pour lequel certains parleront de superstition quand d'autres n'y verront que sorcellerie. Elles sont surtout les actrices d'une histoire de dédoublement de la personnalité dans "Histoires fantastiques d'aujourd'hui" d'André Bay (Casterman 1965). Cette histoire de dédoublement fut reprise par plusieurs auteurs ensuite. Par Jean-Louis Bousquet dans "Les folles de la nuit" (Marabout, 1978) avec Pauline et le dernier descendant mâle des Amiel qu'il nomme Melchior, puis dans "Mondes noirs" (Union Générale d'Edition, 1980) avec Francis Lacassin. Ce dernier auteur y reviendra dans une autre version quelques années plus tard. C'est en effet une histoire vue différemment que l'on trouve dans une autre série, "Mythologie du Fantastique" sous le titre "Les rivages de la nuit" parue en 1991 (Ed. du Rocher); Lacassin y présente Christine Amyel errant dans les rues du quartier du Marais à Paris, croyant véritablement revivre les menaces et les angoisses vécues par son aïeule Calliste Amyel, un siècle et demi plus tôt, pendant la révolution de 1789.
Outre le "père Amiel" cité dans la page 1 de la présente série, Jean Giono parle dans son œuvre "Le dernier feu" de deux autres Amiel, Augustine et Hilarion Amiel dans un roman où est narrée la vie quotidienne rurale en Haute-Provence il y a plus d'un siècle.
Un personnage nommé simplement Amiel est l'un des protagonistes d'une partie de cartes prétexte à surtout commenter la vie quotidienne locale. L'auteur est bien connu en terre d'Aude; il s'agit de Raymond Gougaud. Ce texte s'appelle simplement "La partida de cartas" et fut publié dans la collection "Vendemias" à Villelongue d'Aude dans les années 1980.
C'est dans le roman "El biografo de Nora Dalme" de César Gonzalez Bernabé que figure cet Amiel (Ed. Club Universitario, San Vicente, Alicante, 2009).
Additions:
NB : Le même nom d'un berger Ammiel apparait dans un roman pseudo-antique hébreu de J. Servaas.
Additions:
**L'apostat AMMIEL** :
Personnage juif dans un roman historico-religieux dont l'action se passe durant la captivité à Babylone (voir page hébreux). "Noble jeune homme descendant de David, sa démarche élégante, son intelligente contenance et l'esprit qui brillait dans ses yeux noirs attiraient une admiration unanime". Pressenti pour devenir gardien du harem royal perse, son grand-père n'est pas d'accord et ils vont fuir dans les montagnes, comme d'autres juifs d'ailleurs. Après avoir été pendant quelques temps un mercenaire à la solde d'un ennemi des Perses, il devient un chef de bandits. Avec une petite troupe constituée d'hommes de sa trempe et à sa solde il va écumer toute la région et il sera redouté dans toute l'Asie occidentale, oubliant bien entendu ses devoirs envers son Dieu, transgressant même la loi mosaïque d'où ce surnom d'apostat. Pourtant au retour en Terre Sainte au moment de la libération des juifs, l'apostat Ammiel fera amende honorable et sera pardonné par le Seigneur; mais à peine se prosterne t-il face contre terre qu'il meurt tout aussitôt. Il sera toutefois enterré dit le conte dans l'une des tombes royales de la vallée de Josaphat. Il s'agit de "Ammiel, the apostate, a tale of the Babylonish captivity" by W.C. Taylor, L.L.D in Friendship's offering and Winter's Wreath" present for 1836 (London Smith Elder & Co).
Personnage juif dans un roman historico-religieux dont l'action se passe durant la captivité à Babylone (voir page hébreux). "Noble jeune homme descendant de David, sa démarche élégante, son intelligente contenance et l'esprit qui brillait dans ses yeux noirs attiraient une admiration unanime". Pressenti pour devenir gardien du harem royal perse, son grand-père n'est pas d'accord et ils vont fuir dans les montagnes, comme d'autres juifs d'ailleurs. Après avoir été pendant quelques temps un mercenaire à la solde d'un ennemi des Perses, il devient un chef de bandits. Avec une petite troupe constituée d'hommes de sa trempe et à sa solde il va écumer toute la région et il sera redouté dans toute l'Asie occidentale, oubliant bien entendu ses devoirs envers son Dieu, transgressant même la loi mosaïque d'où ce surnom d'apostat. Pourtant au retour en Terre Sainte au moment de la libération des juifs, l'apostat Ammiel fera amende honorable et sera pardonné par le Seigneur; mais à peine se prosterne t-il face contre terre qu'il meurt tout aussitôt. Il sera toutefois enterré dit le conte dans l'une des tombes royales de la vallée de Josaphat. Il s'agit de "Ammiel, the apostate, a tale of the Babylonish captivity" by W.C. Taylor, L.L.D in Friendship's offering and Winter's Wreath" present for 1836 (London Smith Elder & Co).
Deletions:
Personnage juif dans un roman historico-religieux dont l'action se passe durant la captivité à Babylone (voir page hébreux). "Noble jeune homme descendant de David, sa démarche élégante, son intelligente contenance et l'esprit qui brillait dans ses yeux noirs attiraient une admiration unanime". Pressenti pour devenir gardien du harem royal perse, son grand-père n'est pas d'accord et ils vont fuir dans les montagnes, comme d'autres juifs d'ailleurs. Après avoir été pendant quelques temps un mercenaire à la solde d'un ennemi des Perses, il devient un chef de bandits. Avec une petite troupe constituée d'hommes de sa trempe et à sa solde il va écumer toute la région et il sera redouté dans toute l'Asie occidentale, oubliant bien entendu ses devoirs envers son Dieu, transgressant même la loi mosaïque d'où ce surnom d'apostat. Pourtant au retour en Terre Sainte au moment de la libération des juifs, l'apostat Amiell fera amende honorable et sera pardonné par le Seigneur; mais à peine se prosterne t-il face contre terre qu'il meurt tout aussitôt. Il sera toutefois enterré dit le conte dans l'une des tombes royales de la vallée de Josaphat. "Ammiel, the apostate, a tale of the Babylonish captivity" by W.C. Taylor, L.L.D in Friendship's offering and Winter's Wreath" present for 1836 (London Smith Elder & Co).