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P. Amiel vénérable de la Loge maçonnique de Rodez * Marius Louis Amiel poète * Les Amiel armateurs de St Malo, Le Havre, Marseille * Les Amiel rabbins au Maroc * Félix Milius * Deux Amiel à La Seyne-sur-Mer * Etienne Hamilius * Antoine Amiel professeur de médecine et de chirurgie à Toulouse (1779-1842) * Dr Amiel médecin aliéniste toulousain * Jean-Baptiste Amiel financier * Elise Amiel peintre * Un Amiel anarchiste * Des Amiel parfumeurs * Les Souvenirs d'une Vie par deux Amiel * Madeleine Amilia écrivain moraliste * Jules Chambellan-Amiel de Mérindol * Un peintre Amiel inconnu * Pierre-Jean Amiel auteur de théâtre * Théodore Aubanel et les Amiel * Gervais Amiel, carrière exemplaire d'un curé *
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P. Amiel vénérable de la Loge maçonnique de Rodez * Marius Louis Amiel poète * Les Amiel armateurs de St Malo, Le Havre, Marseille * Les Amiel rabbins au Maroc * Félix Milius * Deux Amiel à La Seyne-sur-Mer * Etienne Hamilius * Antoine Amiel professeur de médecine et de chirurgie à Toulouse (1779-1842) * Dr Amiel médecin aliéniste toulousain * Jean-Baptiste Amiel financier * Elise Amiel peintre * Un Amiel anarchiste * Des Amiel parfumeurs * Les Souvenirs d'une Vie par deux Amiel * Madeleine Amilia écrivain moraliste * Jules Chambellan-Amiel de Mérindol * Un peintre Amiel inconnu * Pierre-Jean Amiel auteur de théâtre * Théodore Aubanel et les Amiel * Gervais Amiel, carrière exemplaire d''un curé *
**Gervais Amiel, carrière exemplaire d'un curé** :
Le 19 juillet 1832 naît au Luc-en-Provence (83) Gervais-Horace Amiel, fils de l’instituteur Jean-Hypolite (sic) Amiel et de Marguerite-Justine Trotobas. Gervais-Horace Amiel, fut ordonné sous-diacre en 1854 il est nommé prêtre à Fréjus en 1857. D'abord professeur au petit-séminaire de Grasse, il est bien vite envoyé comme vicaire à Puget-Ville, dès novembre 1857, puis à Saint-Tropez en 1861. En 1865, il y reçoit la charge d'aumônier du couvent de la Présentation. Il retrouve un poste de vicaire en 1867 à la paroisse Saint-Flavien, à Toulon, puis à Brignoles le en 1868. L'abbé Amiel devient recteur de Claviers en 1873. Après un temps de repos en famille à partir de juillet 1873, il est affecté en octobre de cette même année à la paroisse d'Antibes en qualité de vicaire. Il devint ensuite recteur de Cogolin en 1880 et fut nommé curé-doyen de Rians en janvier 1889 où il ne resta guère plus d'un an. Après tant de services différents, son dernier poste fut celui de curé-doyen du Luc, sa paroisse natale qu'il retrouva en avril 1900. Doué d’une vigoureuse application au travail et d’une énergique volonté, l'abbé Amiel fut un éloquent prédicateur apprécié dans toutes les chaires du diocèse. Il prit sa retraite sur place en 1907 et y mourut le 7 octobre 1917. Il avait été fait chanoine honoraire le 12 septembre 1891, alors qu'il était encore curé-doyen de Rians : à cette occasion, il fit profession de foi devant le doyen du chapitre et reçut les insignes de cette dignité le 21 septembre à l'office capitulaire de l'après-midi. Il était également chanoine honoraire d'Aix.
(=> site de du chapitre du diocèse de Fréjus-Toulon)
**Gervais Amiel, carrière exemplaire d'un curé** :
Le 19 juillet 1832 naît au Luc-en-Provence (83) Gervais-Horace Amiel, fils de l’instituteur Jean-Hypolite (sic) Amiel et de Marguerite-Justine Trotobas. Gervais-Horace Amiel, fut ordonné sous-diacre en 1854 il est nommé prêtre à Fréjus en 1857. D'abord professeur au petit-séminaire de Grasse, il est bien vite envoyé comme vicaire à Puget-Ville, dès novembre 1857, puis à Saint-Tropez en 1861. En 1865, il y reçoit la charge d'aumônier du couvent de la Présentation. Il retrouve un poste de vicaire en 1867 à la paroisse Saint-Flavien, à Toulon, puis à Brignoles le en 1868. L'abbé Amiel devient recteur de Claviers en 1873. Après un temps de repos en famille à partir de juillet 1873, il est affecté en octobre de cette même année à la paroisse d'Antibes en qualité de vicaire. Il devint ensuite recteur de Cogolin en 1880 et fut nommé curé-doyen de Rians en janvier 1889 où il ne resta guère plus d'un an. Après tant de services différents, son dernier poste fut celui de curé-doyen du Luc, sa paroisse natale qu'il retrouva en avril 1900. Doué d’une vigoureuse application au travail et d’une énergique volonté, l'abbé Amiel fut un éloquent prédicateur apprécié dans toutes les chaires du diocèse. Il prit sa retraite sur place en 1907 et y mourut le 7 octobre 1917. Il avait été fait chanoine honoraire le 12 septembre 1891, alors qu'il était encore curé-doyen de Rians : à cette occasion, il fit profession de foi devant le doyen du chapitre et reçut les insignes de cette dignité le 21 septembre à l'office capitulaire de l'après-midi. Il était également chanoine honoraire d'Aix.
(=> site de du chapitre du diocèse de Fréjus-Toulon)
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Pierre ou Paul Amiel fut en 1818 en effet le Vénérable de cette loge d'après la Révolution et l'Empire. Cette loge avait été créée bien avant, en 1762; on sait que dans les années 1760 de gros efforts sont faits en France pour déployer la franc-maçonnerie, mouvement pré-révolutionnaire maillant ainsi tout le territoire afin de propager ses idées nouvelles et préparer le grand bouleversement de la société. Ce sont les décideurs de l'époque qui "entrent en maçonnerie", les nouveaux riches, les bourgeois aristocratisés, les commerçants, mais on y trouve aussi des militaires, des médecins ou des ecclésiastiques ! A Rodez, ville pourtant hors des routes les plus empruntées, cela ne traîne pas et les bourgeois les plus en vue tiennent à participer aux travaux de la nouvelle loge. Le phénomène toucha les élites politiques de la nation, le ver était dans le fruit et l'on n'attendra pas très longtemps avant que toute la société s'embrase d'un feu qui couvait donc depuis une paire de dizaines d'années seulement.
Marius Louis Amiel est un poète provençal de langue occitane qui s'épanouit durant la période mistralienne de redécouverte de cette langue. Il vécut du côté de Marseille entre 1835 et 1893. Il s'appelle en provençal Loïs Amiel; c'est un rentier de la petite ou moyenne bourgeoisie d'alors; il écrivit des contes, des poèmes divers et des comédies; selon l'habitude de son temps il récitait volontiers ses œuvres lorsqu'il se trouvait avec des amis, ou lors des interminables repas et banquets, autre habitude de l'époque. Il a peu publié mais il a participé aux nombreux concours littéraires des associations félibréennes alors en expansion et y a recueilli diverses récompenses. Sa langue devait avoir une certaine tenue comme l'on disait, puisque Mistral qui le connaissait le cite à plusieurs reprises dans son dictionnaire "Lo Tresor dou Felibrige". Dans le n° 33 de "Lo Sanct Janenc" (L'habitant de St Jean) J. B. Faure le présente et ce journal aurait pu diffuser beaucoup de ses œuvres, mais il cessa rapidement de paraitre; seul "Retrachs" (portraits) y fut publié.
Journaliste luxembourgeois (1856-1929) dont le patronyme amelien spécifique est bien connu dans le duché. Il publia d'abord une histoire de la ganterie de son petit pays puis travailla ensuite à Paris où il décèdera. En 1895 il publie "Scènes de la vie des Ardennes" après avoir écrit en 1891 une "Philosophie de l'économie politique". Il est aussi l'auteur d'un "Dictionnaire des auteurs luxembourgeois".
La IIIème République si elle a duré longtemps, traversé la Ière Guerre Mondiale, a quand même eu du mal à s'imposer. Outre les 1ères élections à la Chambre des Députés nettement en faveur des monarchistes, des mouvements d'extrême gauche, nostalgiques de la Commune de 1871 sans doute, vinrent secouer aussi son cours vers la fin du siècle alors qu'elle était enfin sur les rails. En 1884 un comité central révolutionnaire publie une déclaration contre le gouvernement et le parlement signée par les délégués de tous les arrondissements de Paris et certaines organisations comme celle nommée du fameux slogan anarchiste "Ni Dieu, ni maitre" à laquelle appartint un certain Amiel dont je n'ai pas le prénom.
**THEODORE AUBANEL descendant d'AMIEL** :
Marius Louis Amiel est un poète provençal de langue occitane qui s'épanouit durant la période mistralienne de redécouverte de cette langue. Il vécut du côté de Marseille entre 1835 et 1893. Il s'appelle en provençal Loïs Amiel; c'est un rentier de la petite ou moyenne bourgeoisie d'alors; il écrivit des contes, des poèmes divers et des comédies; selon l'habitude de son temps il récitait volontiers ses œuvres lorsqu'il se trouvait avec des amis, ou lors des interminables repas et banquets, autre habitude de l'époque. Il a peu publié mais il a participé aux nombreux concours littéraires des associations félibréennes alors en expansion et y a recueilli diverses récompenses. Sa langue devait avoir une certaine tenue comme l'on disait, puisque Mistral qui le connaissait le cite à plusieurs reprises dans son dictionnaire "Lo Tresor dou Felibrige". Dans le n° 33 de "Lo Sanct Janenc" (L'habitant de St Jean) J. B. Faure le présente et ce journal aurait pu diffuser beaucoup de ses œuvres, mais il cessa rapidement de paraitre; seul "Retrachs" (portraits) y fut publié.
Journaliste luxembourgeois (1856-1929) dont le patronyme amelien spécifique est bien connu dans le duché. Il publia d'abord une histoire de la ganterie de son petit pays puis travailla ensuite à Paris où il décèdera. En 1895 il publie "Scènes de la vie des Ardennes" après avoir écrit en 1891 une "Philosophie de l'économie politique". Il est aussi l'auteur d'un "Dictionnaire des auteurs luxembourgeois".
La IIIème République si elle a duré longtemps, traversé la Ière Guerre Mondiale, a quand même eu du mal à s'imposer. Outre les 1ères élections à la Chambre des Députés nettement en faveur des monarchistes, des mouvements d'extrême gauche, nostalgiques de la Commune de 1871 sans doute, vinrent secouer aussi son cours vers la fin du siècle alors qu'elle était enfin sur les rails. En 1884 un comité central révolutionnaire publie une déclaration contre le gouvernement et le parlement signée par les délégués de tous les arrondissements de Paris et certaines organisations comme celle nommée du fameux slogan anarchiste "Ni Dieu, ni maitre" à laquelle appartint un certain Amiel dont je n'ai pas le prénom.
**THEODORE AUBANEL descendant d'AMIEL** :
Deletions:
Marius Louis Amiel est un poète provençal de langue occitane qui s'épanouit durant la période mistralienne de redécouverte de cette langue. Il vécut du côté de Marseille entre 1835 et 1893. Il s'appelle en provençal Loïs Amiel; c'est un rentier de la petite ou moyenne bourgeoisie d'alors; il écrivit des contes, des poèmes divers et des comédies; selon l'habitude de son temps il récitait volontiers ses œuvres lorsqu'il se trouvait avec des amis, ou lors des interminables repas et banquets, autre habitude de l'époque. Il a peu publié mais il a participé aux nombreux concours littéraires des associations félibréennes alors en expansion et y a recueilli diverses récompenses. Sa langue devait avoir une certaine tenue comme l'on disait, puisque Mistral qui le connaissait le cite à pkusieurs reprises dans son dictionnaire "Lo Tresor dou Felibrige". Dans le n° 33 de "Lo Sanct Janenc" (L'habitant de St Jean) J. B. Faure le présente et ce journal aurait pu diffuser beaucoup de ses œuvres, mais il cessa rapidement de paraitre; seul "Retrachs" (portraits) y fut publié.
Journaliste luxembourgeois (1856-1929) dont le patronyme est bien connu dans le duché. Il publia d'abord une histoire de la ganterie de son petit pays puis travailla ensuite à Paris où il décèdera. En 1895 il publie "Scènes de la vie des Ardennes" après avoir écrit en 1891 une "Philosophie de l'économie politique". Il est aussi l'auteur d'un "Dictionnaire des auteurs luxembourgeois".
La IIIème République si elle a duré longtemps, traversé la Ière Guerre Mondiale, a quand même eu du mal à s'imposer. Outre les 1ères élections à la Chambre des Députés nettement en faveur des monarchistes, des mouvements d'extrême gauche, nostalgiques de la Commune de 1871 sans doute, vinrent secouer aussi son cours vers la fin du siècle. En 1884 un comité central révolutionnaire publie une déclaration contre le gouvernement et le parlement signée par les délégués de tous les arrondissements de Paris et certaines organisations comme celle nommée du fameux slogan anarchiste "Ni Dieu, ni maitre" à laquelle appartint un certain Amiel dont je n'ai pas le prénom.
**THEODORE AUBANEL et les AMIEL** :
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//INDEX ONOMASTIQUE// :
Deletions:
Additions:
P. Amiel vénérable de la Loge maçonnique de Rodez * Marius Louis Amiel poète * Les Amiel armateurs de St Malo, Le Havre, Marseille * Les Amiel rabbins au Maroc * Félix Milius * Deux Amiel à La Seyne-sur-Mer * Etienne Hamilius * Antoine Amiel professeur de médecine et de chirurgie à Toulouse (1779-1842) * Dr Amiel médecin aliéniste toulousain * Jean-Baptiste Amiel financier * Elise Amiel peintre * Un Amiel anarchiste * Des Amiel parfumeurs * Les Souvenirs d'une Vie par deux Amiel * Madeleine Amilia écrivain moraliste * Jules Chambellan-Amiel de Mérindol * Un peintre Amiel inconnu * Pierre-Jean Amiel auteur de théâtre * Théodore Aubanel et les Amiel *
Deletions:
Théodore Aubanel et les Amiel *
Additions:
Théodore Aubanel et les Amiel *
**THEODORE AUBANEL et les AMIEL** :
Avec Roumanille et Frédéric Mistral, Aubanel est l'un des plus célèbres chantres de Provence et de sa langue au XIXème S. Ce personnage eut dans ses ascendants plusieurs Amiel dont : à la 5ème génération qui le précède Anne Amiel, épouse de Louis Chaudon, bourgeois de Valensole en 1695 puis à la 6ème génération Pierre Amiel marchand toujours à Valensole au milieu du XVIIème S. et à la 7ème génération (début XVIIème) Jean Amiel dont on ne connait que le nom de son épouse Françoise Moutte.
(=> site "Généprovence" art. du 19/02/2014 "Théodore Aubanel 1829-1886, le poète amoureux").
**THEODORE AUBANEL et les AMIEL** :
Avec Roumanille et Frédéric Mistral, Aubanel est l'un des plus célèbres chantres de Provence et de sa langue au XIXème S. Ce personnage eut dans ses ascendants plusieurs Amiel dont : à la 5ème génération qui le précède Anne Amiel, épouse de Louis Chaudon, bourgeois de Valensole en 1695 puis à la 6ème génération Pierre Amiel marchand toujours à Valensole au milieu du XVIIème S. et à la 7ème génération (début XVIIème) Jean Amiel dont on ne connait que le nom de son épouse Françoise Moutte.
(=> site "Généprovence" art. du 19/02/2014 "Théodore Aubanel 1829-1886, le poète amoureux").